D'après GMM
Eric Boullier reconnaît qu'une de ses tâches de la saison dernière, dans l'équipe Renault, a été d'éliminer le « fantôme » de Flavio Briatore.
Après le scandale de l'affaire de Singapour et le départ des dirigeants de Renault F1, le Français était nommé patron de l'écurie par le nouveau propriétaire Genii début 2010 et conserve son poste avec l'arrivée de Group Lotus dans le capital.
Eric Boullier confie à Autohebdo.fr ses impressions de lorsqu'il est arrivé il y a un an: « J'avais le fantôme de mon prédécesseur à l'esprit. J'ai donc éliminé tout ce qui avait trait à lui (Briatore). J'ai changé le bureau, la façon de gérer l'équipe. La seule façon était de tout effacer ou de faire différemment, mais pas de me changer. Je n'avais rien à perdre ».
Aujourd'hui, Eric Boullier se dit être heureux à la tête de l'équipe d'Enstone et déclare au journal L'Equipe qu'il espère que les Lotus Renault noires et or vont remporter des courses.
« Je veux que les gens nous voient comme une grande équipe comme Ferrari ou McLaren, » affirme le Français.
« Maintenant je me sens appartenir à l'équipe et c'est plus facile. Je suis heureux d'être intact après cette première année. Gagner le respect de l'équipe n'est pas une petite victoire et c'était le défi principal. Si cela n'avait pas fonctionné, je serais retourné faire autre chose mais cela fait un an et je suis toujours là ! » explique Eric Boullier.
Eric Boullier reconnaît qu'une de ses tâches de la saison dernière, dans l'équipe Renault, a été d'éliminer le « fantôme » de Flavio Briatore.
Après le scandale de l'affaire de Singapour et le départ des dirigeants de Renault F1, le Français était nommé patron de l'écurie par le nouveau propriétaire Genii début 2010 et conserve son poste avec l'arrivée de Group Lotus dans le capital.
Eric Boullier confie à Autohebdo.fr ses impressions de lorsqu'il est arrivé il y a un an: « J'avais le fantôme de mon prédécesseur à l'esprit. J'ai donc éliminé tout ce qui avait trait à lui (Briatore). J'ai changé le bureau, la façon de gérer l'équipe. La seule façon était de tout effacer ou de faire différemment, mais pas de me changer. Je n'avais rien à perdre ».
Aujourd'hui, Eric Boullier se dit être heureux à la tête de l'équipe d'Enstone et déclare au journal L'Equipe qu'il espère que les Lotus Renault noires et or vont remporter des courses.
« Je veux que les gens nous voient comme une grande équipe comme Ferrari ou McLaren, » affirme le Français.
« Maintenant je me sens appartenir à l'équipe et c'est plus facile. Je suis heureux d'être intact après cette première année. Gagner le respect de l'équipe n'est pas une petite victoire et c'était le défi principal. Si cela n'avait pas fonctionné, je serais retourné faire autre chose mais cela fait un an et je suis toujours là ! » explique Eric Boullier.