D’après GMM
Au terme de la réunion du Conseil mondial du sport automobile de la FIA mercredi à Paris, on apprend que l’écurie Ferrari échappe à d’autres pénalités suite aux événements survenus au Grand Prix d’Allemagne.
Fernando Alonso avait doublé le meneur de la course, son coéquipier Felipa Massa suite à une série de conversations radio entre les pilotes et les ingénieurs de l’écurie.
La Scuderia Ferrari s’était vue imposer une amende de 100 000 $ pour ne pas avoir respecté l’interdiction de dicter des consignes d’équipe.
Mais l’ancien président de la FIA, Max Mosley, et d’autres personnes ont affirmé que Ferrari devait être encore plus pénalisée.
La décision prise aujourd’hui, de ne pas pénaliser Ferrari, démontre que la FIA va sérieusement modifier ou même éliminer le règlement qui interdit les consignes, car impossible à gérer efficacement.
Le grand patron de la F1, Bernie Ecclestone, et le président de la FIA, Jean Todt, ont assisté aux audiences.
La décision de ne pas pénaliser Ferrari a été confirmée par Angelo Sticchi Damiani, président du club automobile italien CSAI.
Bernie Ecclestone n’a pas répondu aux questions des journalistes, précisant qu’un communiqué de presse serait publié plus tard.
Au terme de la réunion du Conseil mondial du sport automobile de la FIA mercredi à Paris, on apprend que l’écurie Ferrari échappe à d’autres pénalités suite aux événements survenus au Grand Prix d’Allemagne.
Fernando Alonso avait doublé le meneur de la course, son coéquipier Felipa Massa suite à une série de conversations radio entre les pilotes et les ingénieurs de l’écurie.
La Scuderia Ferrari s’était vue imposer une amende de 100 000 $ pour ne pas avoir respecté l’interdiction de dicter des consignes d’équipe.
Mais l’ancien président de la FIA, Max Mosley, et d’autres personnes ont affirmé que Ferrari devait être encore plus pénalisée.
La décision prise aujourd’hui, de ne pas pénaliser Ferrari, démontre que la FIA va sérieusement modifier ou même éliminer le règlement qui interdit les consignes, car impossible à gérer efficacement.
Le grand patron de la F1, Bernie Ecclestone, et le président de la FIA, Jean Todt, ont assisté aux audiences.
La décision de ne pas pénaliser Ferrari a été confirmée par Angelo Sticchi Damiani, président du club automobile italien CSAI.
Bernie Ecclestone n’a pas répondu aux questions des journalistes, précisant qu’un communiqué de presse serait publié plus tard.