D'après GMM
L’annonce du départ d’Alonso étant maintenant imminente, la vraie question est de savoir qui va le remplacer chez Ferrari.
Depuis hier soir, le quadruple champion du monde Sebastian Vettel cherche une écurie qui voudrait bien lui.
Il y aussi Jules Bianchi, un membre du programme de développement de pilotes Ferrari, qui n’attend qu’une chance de se faire valoir.
En tout cas, Kimi Räikkönen semble bien installé dans le second baquet. Ses performances en 2014 n’impressionnent personne, mais son contrat béton lui garantit – ou presque – un volant au sein de la Scuderia pour l’an prochain.
Et il est très ami avec Vettel.
Lorsque le réseau de télévision finlandais MTV3 lui a demandé s’il voudrait de l’Allemand comme coéquipier, il a répondu : « Absolument. On n’a jamais été dans la même équipe, mais je le connais bien. »
Il a ensuite confirmé la solidité de son contrat béton et de sa motivation.
« J’ai un contrat, et je m’attends à rester chez Ferrari pour l’an prochain.
« Je crois sincèrement que la situation va s’améliorer, quoi que Marco (Mattiacci) en dise.
« Je suis ici parce que je veux être. Si je voulais, je pourrais partir ce soir. Mais si je veux, je peux rester pendant deux ans ou même dix. »
L’annonce du départ d’Alonso étant maintenant imminente, la vraie question est de savoir qui va le remplacer chez Ferrari.
Depuis hier soir, le quadruple champion du monde Sebastian Vettel cherche une écurie qui voudrait bien lui.
Il y aussi Jules Bianchi, un membre du programme de développement de pilotes Ferrari, qui n’attend qu’une chance de se faire valoir.
En tout cas, Kimi Räikkönen semble bien installé dans le second baquet. Ses performances en 2014 n’impressionnent personne, mais son contrat béton lui garantit – ou presque – un volant au sein de la Scuderia pour l’an prochain.
Kimi Raikkonen et son ami Sebastian Vettel à Singapour (Photo: WRI2) |
Et il est très ami avec Vettel.
Lorsque le réseau de télévision finlandais MTV3 lui a demandé s’il voudrait de l’Allemand comme coéquipier, il a répondu : « Absolument. On n’a jamais été dans la même équipe, mais je le connais bien. »
Il a ensuite confirmé la solidité de son contrat béton et de sa motivation.
« J’ai un contrat, et je m’attends à rester chez Ferrari pour l’an prochain.
« Je crois sincèrement que la situation va s’améliorer, quoi que Marco (Mattiacci) en dise.
« Je suis ici parce que je veux être. Si je voulais, je pourrais partir ce soir. Mais si je veux, je peux rester pendant deux ans ou même dix. »