Cyril Abiteboul n’a pas encore complété son entrée en fonction chez Caterham, qu'il rêve déjà de voir son écurie quitter les bas fonds du classement.
Le premier mandat du Français a été de mettre le doigt sur ce qui manque chez Caterham pour se hisser vers le haut de la grille. Selon lui, ses troupes sont lasses de n’avoir aucune opposition directe.
« La fin enlevante du Grand Prix du Brésil 2012 signifie deux choses à mes yeux, explique Abiteboul dans une entrevue avec Formula1.com. D’abord, le fait d’avoir terminé 10e au classement des constructeurs nous donne un sacré coup de main financier.
« Mais aussi, cela a fouetté les troupes. Ça leur a prouvé que nous étions capables de participer au spectacle. C’est cette motivation qui a le plus cruellement manqué à notre campagne 2012. »
Pour sauter le pas entre le fond et le milieu de la grille, Abiteboul mise sur le changement de règlementation prévu pour 2014.
« Les changements de règlementation peuvent être dangereux pour une petite écurie comme la nôtre, prévient-il d’abord, mais peuvent aussi, dans notre cas, ouvrir des portes, notamment grâce à notre partenariat technique avec Renault.
« Nous sommes plus que jamais prêts à nous battre. »
Le premier mandat du Français a été de mettre le doigt sur ce qui manque chez Caterham pour se hisser vers le haut de la grille. Selon lui, ses troupes sont lasses de n’avoir aucune opposition directe.
« La fin enlevante du Grand Prix du Brésil 2012 signifie deux choses à mes yeux, explique Abiteboul dans une entrevue avec Formula1.com. D’abord, le fait d’avoir terminé 10e au classement des constructeurs nous donne un sacré coup de main financier.
« Mais aussi, cela a fouetté les troupes. Ça leur a prouvé que nous étions capables de participer au spectacle. C’est cette motivation qui a le plus cruellement manqué à notre campagne 2012. »
Pour sauter le pas entre le fond et le milieu de la grille, Abiteboul mise sur le changement de règlementation prévu pour 2014.
« Les changements de règlementation peuvent être dangereux pour une petite écurie comme la nôtre, prévient-il d’abord, mais peuvent aussi, dans notre cas, ouvrir des portes, notamment grâce à notre partenariat technique avec Renault.
« Nous sommes plus que jamais prêts à nous battre. »