D'après GMM
Luca di Montezemolo rejette les appels au retour de Ross Brawn chez Ferrari.
Ferrari n'a plus remporté de titre de champion du monde des pilotes depuis 2007, mais le président insiste que le directeur principal Stefano Domenicali a son plein soutien.
Luca di Montezemolo annonce au journal Turun Sanomat lors du Salon de Francfort : « La gestion de l'équipe reste inchangée. Il y a des petits ajustements à apporter, mais rien n'est lié aux personnes clés ».
La presse italienne ainsi que les « Tifosi » suggèrent de reformer le tandem Ross Brawn - Rory Byrne pour relancer la Scuderia.
Le président de Ferrari insiste : « J'entends parler de l'engagement de Ross Brawn, mais c'est sans voir les difficultés qu'il a avec Mercedes. Nous avons choisi la stabilité ».
L'Italien poursuit dans la Corriere della Sera : « Devrais-je m'excuser ? Non, car nous sommes toujours parmi les protagonistes. Notre culture est la mécanique, alors que l'aérodynamique est celle des Anglais, du coup l'interdiction des essais privés nous pénalise fortement. Et puis aussi la règlementation trop restrictive sur les moteurs, nos techniciens sont frustrés de ne pas pouvoir augmenter le nombre de chevaux ».
Luca di Montezemolo rejette les appels au retour de Ross Brawn chez Ferrari.
Ferrari n'a plus remporté de titre de champion du monde des pilotes depuis 2007, mais le président insiste que le directeur principal Stefano Domenicali a son plein soutien.
Luca di Montezemolo annonce au journal Turun Sanomat lors du Salon de Francfort : « La gestion de l'équipe reste inchangée. Il y a des petits ajustements à apporter, mais rien n'est lié aux personnes clés ».
La presse italienne ainsi que les « Tifosi » suggèrent de reformer le tandem Ross Brawn - Rory Byrne pour relancer la Scuderia.
Le président de Ferrari insiste : « J'entends parler de l'engagement de Ross Brawn, mais c'est sans voir les difficultés qu'il a avec Mercedes. Nous avons choisi la stabilité ».
L'Italien poursuit dans la Corriere della Sera : « Devrais-je m'excuser ? Non, car nous sommes toujours parmi les protagonistes. Notre culture est la mécanique, alors que l'aérodynamique est celle des Anglais, du coup l'interdiction des essais privés nous pénalise fortement. Et puis aussi la règlementation trop restrictive sur les moteurs, nos techniciens sont frustrés de ne pas pouvoir augmenter le nombre de chevaux ».