D’après GMM
Tout porte à croire que la crise qui sévit en ce moment en Russie n’affectera pas la tenue du tout premier grand prix là-bas.
En effet, plusieurs prédisaient l’annulation de la course, prévue pour le mois d’octobre, après l’écrasement du vol MH17. Mais les voix dans le paddock se veulent rassurantes.
« Bien sûr, les événements dans cette partie du monde touchent tout le monde, a déclaré Claire Williams en Hongrie. Mais la F1 a toujours évité de s’impliquer dans les affaires politiques. »
Et plusieurs collègues de Williams partagent son avis.
Tout de même, après des grands prix controversés à Bahreïn et en Chine, et l’ajout de l’Azerbaïdjan au calendrier 2016, la presse internationale reproche à la F1 sa foi « inconditionnelle » en Ecclestone.
« La F1 suivrait-elle Ecclestone jusqu’en Corée du Nord ? », demande le journaliste de Sport Bild, Ralf Bach.
Christian Horner de Red Bull répond que la presse devrait se concentrer sur les aspects positifs du sport.
« Nous devrions parler des pilotes, et de leurs prouesses. Mais nous ne parlons que des aspects négatifs du sport. Ça devient lassant de répondre à ces questions », soutient-il.
Tout porte à croire que la crise qui sévit en ce moment en Russie n’affectera pas la tenue du tout premier grand prix là-bas.
En effet, plusieurs prédisaient l’annulation de la course, prévue pour le mois d’octobre, après l’écrasement du vol MH17. Mais les voix dans le paddock se veulent rassurantes.
« Bien sûr, les événements dans cette partie du monde touchent tout le monde, a déclaré Claire Williams en Hongrie. Mais la F1 a toujours évité de s’impliquer dans les affaires politiques. »
Et plusieurs collègues de Williams partagent son avis.
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| Photo: WRi2 |
Tout de même, après des grands prix controversés à Bahreïn et en Chine, et l’ajout de l’Azerbaïdjan au calendrier 2016, la presse internationale reproche à la F1 sa foi « inconditionnelle » en Ecclestone.
« La F1 suivrait-elle Ecclestone jusqu’en Corée du Nord ? », demande le journaliste de Sport Bild, Ralf Bach.
Christian Horner de Red Bull répond que la presse devrait se concentrer sur les aspects positifs du sport.
« Nous devrions parler des pilotes, et de leurs prouesses. Mais nous ne parlons que des aspects négatifs du sport. Ça devient lassant de répondre à ces questions », soutient-il.