Alors que le calendrier 2012 pourrait compter jusqu'à 20 courses – un record dans la discipline reine du sport automobile –, Martin Whitmarsh patron de McLaren, fait connaître ses inquiétudes.
Il a confié à la BBC anglaise qu'il craint d'être forcé d'utiliser des équipes de mécaniciens alternatives, comme en NASCAR, afin de toujours avoir des forces fraîches sur le terrain.
L'incertitude plane toujours sur les Grands Prix 2012 de Bahrain, de Corée et du Texas. Si les trois épreuves ont lieu comme prévu, le calendrier attendra son sommet de 20 épreuves.
Whitmarsh maintient qu'au-delà de ce nombre, ce serait trop en demander pour les équipes. Il explique, « Quand on pense que quand les équipes rentrent à l'usine après la dernière course [le 27 novembre], décembre est déjà là. Au mois de janvier la nouvelle voiture doit être prête, dès février les essais hivernaux ont lieu et en mars on prend l'avion pour les premières courses. » Ça ne laisse pas beaucoup de répit effectivement.
Pour ce qui est des pilotes, Jenson Button se fait plus rassurant que son patron, mais le son de cloche est similaire.
« Les pilotes aiment les courses, explique-t-il candidement. Nous sommes là pour ça. Mais le nombre de courses est moins demandant sur nous que les mécanos, parce que nous ne travaillons pas autant d'heures. »
Il a confié à la BBC anglaise qu'il craint d'être forcé d'utiliser des équipes de mécaniciens alternatives, comme en NASCAR, afin de toujours avoir des forces fraîches sur le terrain.
L'incertitude plane toujours sur les Grands Prix 2012 de Bahrain, de Corée et du Texas. Si les trois épreuves ont lieu comme prévu, le calendrier attendra son sommet de 20 épreuves.
Whitmarsh maintient qu'au-delà de ce nombre, ce serait trop en demander pour les équipes. Il explique, « Quand on pense que quand les équipes rentrent à l'usine après la dernière course [le 27 novembre], décembre est déjà là. Au mois de janvier la nouvelle voiture doit être prête, dès février les essais hivernaux ont lieu et en mars on prend l'avion pour les premières courses. » Ça ne laisse pas beaucoup de répit effectivement.
Pour ce qui est des pilotes, Jenson Button se fait plus rassurant que son patron, mais le son de cloche est similaire.
« Les pilotes aiment les courses, explique-t-il candidement. Nous sommes là pour ça. Mais le nombre de courses est moins demandant sur nous que les mécanos, parce que nous ne travaillons pas autant d'heures. »
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| Les employés McLaren les moins occupés (Photo: WRi2) |