Par GMM
Le pilote brésilien Rubens Barrichello explique la principale raison qui l'a poussé à quitter la prestigieuse Scuderia Ferrari.
Barrichello croyait bien qu'en signant chez Ferrari à la fin de l'année 1999, il disposait des mêmes chances de victoire que son illustre général, Michael Schumacher. Rubens caressait le rêve d'être sacré champion du monde. Mais on lui a souvent demandé de s'effacer afin d'offir la victoire ou un meilleur résultats à Schumacher.
Sur les ondes de la chaîne de télévision brésilienne TV Globo, Barrichello a levé le voile sur la raison qui l'a finalement poussé à quitter Ferrari pour de bon.
Cela remonte au Grand Prix des États-Unis 2005, une course disputée avec seulement les six voitures chaussées de pneus Bridgestone.
« En fin de course, l'équipe m'a invité à ralentir afin que Michael se rapproche de moi et puisse me dépasser. À ce moment-là, j'ai su qu'il était pour moi de partir. Cette course aux États-Unis a été cruciale, » a-t-il déclaré.
Ce qui a choqué Barrichello à l'époque est qu'on n'en était qu'au milieu de la saison et que Michael Schumacher n'était pas dans la lutte au titre (il était 5e au classement avec 35 points de retard sur Fernando Alonso).
« Lorsque j'ai signé mon contrat avec Ferrari, rien dans celui-ci n'indiquait que les pilotes seraient traités différemment. J'étais souvent en colère à ce propos, car tout le monde disait qu'il n'y avait aucune différence entre nous, mais la bataille était inégale," ajoute Barrichello.
photo:Ferrari
Le pilote brésilien Rubens Barrichello explique la principale raison qui l'a poussé à quitter la prestigieuse Scuderia Ferrari.
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| Brawn, Barrichello et Schumacher souriant sur le podium d'Indianapolis 2005... |
Sur les ondes de la chaîne de télévision brésilienne TV Globo, Barrichello a levé le voile sur la raison qui l'a finalement poussé à quitter Ferrari pour de bon.
Cela remonte au Grand Prix des États-Unis 2005, une course disputée avec seulement les six voitures chaussées de pneus Bridgestone.
« En fin de course, l'équipe m'a invité à ralentir afin que Michael se rapproche de moi et puisse me dépasser. À ce moment-là, j'ai su qu'il était pour moi de partir. Cette course aux États-Unis a été cruciale, » a-t-il déclaré.
Ce qui a choqué Barrichello à l'époque est qu'on n'en était qu'au milieu de la saison et que Michael Schumacher n'était pas dans la lutte au titre (il était 5e au classement avec 35 points de retard sur Fernando Alonso).
« Lorsque j'ai signé mon contrat avec Ferrari, rien dans celui-ci n'indiquait que les pilotes seraient traités différemment. J'étais souvent en colère à ce propos, car tout le monde disait qu'il n'y avait aucune différence entre nous, mais la bataille était inégale," ajoute Barrichello.
photo:Ferrari