D’après GMM
Les écuries de F1 sont de moins en moins heureuses avec l’attitude de certains journalistes.
Le directeur de Red Bull Racing Christian Horner avait perdu son calme devant « le négativisme » des médias, vendredi dernier en pleine conférence de presse.
« Nous ne parlons que des aspects négatifs du sport et ça devient plutôt ennuyant pour nous de répondre à ces questions », avait-il déclaré alors.
Et plusieurs pointent les journalistes du doigt pour expliquer les chutes alarmantes des cotes d’écoute en Allemagne ainsi qu’en Hongrie. Semble-t-il que Bernie Ecclestone auraient rencontré certains directeurs d’équipe samedi pour discuter du rôle des médias dans la couverture du sport.
Alors quand Ralf Bach, du Sport Bild, a remis en question le jugement des équipes, qui ont donné leur appui au Grand Prix de Russie, le vase a débordé.
Le directeur de McLaren, Eric Boullier, n’a même pas répondu lorsque Bach lui a demandé s’il suivrait Bernie Ecclestone « jusqu’en Corée du Nord ».
« En ramenant toujours les aspects négatifs de notre sport sur la table, explique Boullier dans les pages du Times, nous détournons l’attention des partisans. Nous les privons du sport qu’ils aiment et nous dégoûtons ceux qui pourraient s’intéresser à la F1.
« Cette négativité explique en partie pourquoi les cotes d’écoute sont en train de chuter. »
Les écuries de F1 sont de moins en moins heureuses avec l’attitude de certains journalistes.
Le directeur de Red Bull Racing Christian Horner avait perdu son calme devant « le négativisme » des médias, vendredi dernier en pleine conférence de presse.
Christian Horner reproche à certains journalistes d'être trop négatifs (Photo: WRi2) |
« Nous ne parlons que des aspects négatifs du sport et ça devient plutôt ennuyant pour nous de répondre à ces questions », avait-il déclaré alors.
Et plusieurs pointent les journalistes du doigt pour expliquer les chutes alarmantes des cotes d’écoute en Allemagne ainsi qu’en Hongrie. Semble-t-il que Bernie Ecclestone auraient rencontré certains directeurs d’équipe samedi pour discuter du rôle des médias dans la couverture du sport.
Alors quand Ralf Bach, du Sport Bild, a remis en question le jugement des équipes, qui ont donné leur appui au Grand Prix de Russie, le vase a débordé.
La F1 fait fuir des amateurs potentiels en se concentrant sur le négatif, pense Eric Boullier (Photo: WRi2) |
Le directeur de McLaren, Eric Boullier, n’a même pas répondu lorsque Bach lui a demandé s’il suivrait Bernie Ecclestone « jusqu’en Corée du Nord ».
« En ramenant toujours les aspects négatifs de notre sport sur la table, explique Boullier dans les pages du Times, nous détournons l’attention des partisans. Nous les privons du sport qu’ils aiment et nous dégoûtons ceux qui pourraient s’intéresser à la F1.
« Cette négativité explique en partie pourquoi les cotes d’écoute sont en train de chuter. »