Je sais ce que vous allez dire : oui, mais dans un véhicule de la grosseur de l’Explorer, ce n’est sûrement pas possible. Eh bien, si!, et je suis même resté un peu surpris à quel point ce moteur anime bien l’Explorer.
Il faut que je mentionne que l’EcoBoost accompagne uniquement les modèles à 2RM, comme pour le Edge, mais à un moment où les consommateurs se demandent s’ils ont réellement besoin d’une transmission intégrale, je n’y vois pas nécessairement d’inconvénient.
Les 240 ch à 5 500 tours et les 270 pi-lb de couple à 3 000 tours que développent l’Explorer EcoBoost se comparent favorablement aux 290 ch à 6 500 tours et 255 pi-lb de couple à 4 000 tours actuellement produits par le V6 de 3,5 litres. De plus, la cote de consommation des modèles EcoBoost s’élève à 10,4 L/100 km en ville et 7,0 L/100 km sur la route, de loin supérieure à celle du V6 (11,9 et 8,0 L/100 km).
Lors de mon essai, qui a inclus du temps sur la route comme la piste ainsi que de sérieuses ascensions de côtes, la nouvelle mécanique m’a impressionné, c’est le moins qu’on puisse dire. En effet, et vous en serez peut-être surpris, j’ai même préféré l’Explorer EcoBoost au Ford Edge moins imposant et considérablement plus léger doté de la même technologie.
Je dirais même que je l’ai préféré au modèle V6 existant, car le moteur semble un brin plus vif et, à bien des égards, il a même une voix plus mielleuse.
À mon avis, en accélérations de l’arrêt, le deux-litres a un léger avantage sur le V6, même s’il faut occasionnellement adapter son style de conduite afin de rester dans la « zone ». Il suffit de trouver le truc, et ce petit quatre-cylindres vous charmera.
Donc, oui, il a peut-être fallu plusieurs décennies pour que Ford réussisse à me conquérir avec son Explorer, mais elle y est parvenue, et encore mieux, elle m’a renversé avec cet incroyable nouveau moteur EcoBoost.
On parle de tout un jalon pour l’entreprise, si bien que je me demande ce que Ford nous réserve pour l’avenir maintenant. Si on peut animer un tel VUS à l’aide de cette technologie, où est la limite? L’Amérique du Nord attendait peut-être justement une technologie comme celle-ci, une occasion pour refroidir nos ardeurs envers les grosses cylindrées et les remplacer par de plus petites mécaniques donnant les mêmes résultats.
Bravo Ford, vous avez fait mouche!
Il faut que je mentionne que l’EcoBoost accompagne uniquement les modèles à 2RM, comme pour le Edge, mais à un moment où les consommateurs se demandent s’ils ont réellement besoin d’une transmission intégrale, je n’y vois pas nécessairement d’inconvénient.
 |
| La cote de consommation des modèles EcoBoost s’élève à 10,4 L/100 km en ville et 7,0 L/100 km sur la route. (Photo: Ford) |
Les 240 ch à 5 500 tours et les 270 pi-lb de couple à 3 000 tours que développent l’Explorer EcoBoost se comparent favorablement aux 290 ch à 6 500 tours et 255 pi-lb de couple à 4 000 tours actuellement produits par le V6 de 3,5 litres. De plus, la cote de consommation des modèles EcoBoost s’élève à 10,4 L/100 km en ville et 7,0 L/100 km sur la route, de loin supérieure à celle du V6 (11,9 et 8,0 L/100 km).
Lors de mon essai, qui a inclus du temps sur la route comme la piste ainsi que de sérieuses ascensions de côtes, la nouvelle mécanique m’a impressionné, c’est le moins qu’on puisse dire. En effet, et vous en serez peut-être surpris, j’ai même préféré l’Explorer EcoBoost au Ford Edge moins imposant et considérablement plus léger doté de la même technologie.
Je dirais même que je l’ai préféré au modèle V6 existant, car le moteur semble un brin plus vif et, à bien des égards, il a même une voix plus mielleuse.
À mon avis, en accélérations de l’arrêt, le deux-litres a un léger avantage sur le V6, même s’il faut occasionnellement adapter son style de conduite afin de rester dans la « zone ». Il suffit de trouver le truc, et ce petit quatre-cylindres vous charmera.
Donc, oui, il a peut-être fallu plusieurs décennies pour que Ford réussisse à me conquérir avec son Explorer, mais elle y est parvenue, et encore mieux, elle m’a renversé avec cet incroyable nouveau moteur EcoBoost.
On parle de tout un jalon pour l’entreprise, si bien que je me demande ce que Ford nous réserve pour l’avenir maintenant. Si on peut animer un tel VUS à l’aide de cette technologie, où est la limite? L’Amérique du Nord attendait peut-être justement une technologie comme celle-ci, une occasion pour refroidir nos ardeurs envers les grosses cylindrées et les remplacer par de plus petites mécaniques donnant les mêmes résultats.
Bravo Ford, vous avez fait mouche!
 |
| À mon avis, en accélérations de l’arrêt, le deux-litres a un léger avantage sur le V6, même s’il faut occasionnellement adapter son style de conduite. (Photo: Kevin Corrigan/Auto123.com) |
Ford Explorer XLT EcoBoost FWD 2012
Ford Explorer XLT EcoBoost FWD 2012
Ford Explorer Base EcoBoost 2012
Ford Explorer Base EcoBoost 2012
Gallerie de l'article