Le constructeur Ford est sérieux… très sérieux. Et il le prouve une fois de plus en lançant sa toute nouvelle Taurus 2010, une berline de grande taille qui a de quoi faire rougir d’envie bien des concurrentes.
Je ne parle pas ici de la SHO, cette bête de puissance à l’air anodin qui fera l’objet d’un essai séparé. Non, je parle tout simplement de la Taurus version ordinaire, qui a connu un vif succès dans le passé et qui, pour sa deuxième renaissance, risque fort de répéter l’exploit.
Style et classe
En matière de design, les responsables chez Ford ont réalisé un travail impeccable. La nouvelle Taurus a des lignes angulées plus présentes, une silhouette généralement plus sportive, et une approche plus dynamique.
Il faut par exemple noter les détails dans la carrosserie pour s’en rendre compte, notamment le repli inséré à l’arrière, directement dans le bouchon de la trappe à essence. Un emplacement qui a dû faire rager les ouvriers chargés de la fabrication, mais qui, une fois en place, prolonge l’épaule de la voiture pour lui donner une longueur et une sportivité renouvelée.
La calandre, plus discrète mais efficace, les blocs optiques et même la petite taille des glaces latérales font de cette nouvelle Taurus une toute nouvelle affirmation de la personnalité fordienne.
Mais n’en déplaise aux dirigeants, et surtout à ceux qui ont mené le projet, la silhouette a beau être jolie, elle n’aura pas autant d’impact que la Chrysler 300 dans son segment. Bon point tout de même pour Ford.
Fait à noter, la Taurus arrive dans une gamme de couleurs plutôt classiques, incluant les traditionnels gris argent, beige et même rouge. Mais on propose cette année un tout nouveau bleu acier qui a beaucoup fait jaser au cours des journées de lancement, et qui a au moins le mérite d’être différent.
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| En matière de design, les responsables chez Ford ont réalisé un travail impeccable. |
Je ne parle pas ici de la SHO, cette bête de puissance à l’air anodin qui fera l’objet d’un essai séparé. Non, je parle tout simplement de la Taurus version ordinaire, qui a connu un vif succès dans le passé et qui, pour sa deuxième renaissance, risque fort de répéter l’exploit.
Style et classe
En matière de design, les responsables chez Ford ont réalisé un travail impeccable. La nouvelle Taurus a des lignes angulées plus présentes, une silhouette généralement plus sportive, et une approche plus dynamique.
Il faut par exemple noter les détails dans la carrosserie pour s’en rendre compte, notamment le repli inséré à l’arrière, directement dans le bouchon de la trappe à essence. Un emplacement qui a dû faire rager les ouvriers chargés de la fabrication, mais qui, une fois en place, prolonge l’épaule de la voiture pour lui donner une longueur et une sportivité renouvelée.
La calandre, plus discrète mais efficace, les blocs optiques et même la petite taille des glaces latérales font de cette nouvelle Taurus une toute nouvelle affirmation de la personnalité fordienne.
Mais n’en déplaise aux dirigeants, et surtout à ceux qui ont mené le projet, la silhouette a beau être jolie, elle n’aura pas autant d’impact que la Chrysler 300 dans son segment. Bon point tout de même pour Ford.
Fait à noter, la Taurus arrive dans une gamme de couleurs plutôt classiques, incluant les traditionnels gris argent, beige et même rouge. Mais on propose cette année un tout nouveau bleu acier qui a beaucoup fait jaser au cours des journées de lancement, et qui a au moins le mérite d’être différent.
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| Comme on peut s’y attendre, la Taurus propose beaucoup d’espace intérieur. |