Nouveau là où il le faut
Du côté de la mécanique, GM a complètement repensé le cadre, la suspension, le moteur et la boîte de vitesses. On ne peut qualifier la machine de « toute nouvelle », mais la nouveauté se trouve là où il le faut.
Le Duramax de 6,6 litres utilise désormais des injecteurs Piezo fonctionnant à 2 000 bars ou 30 000 psi, afin de mieux contrôler le moment d’injection et améliorer la consommation. De plus, des modifications apportées à l’admission, à l’échappement et au bloc-moteur ont permis de créer un moteur plus silencieux, efficace et performant. Et ces changements ont permis de réduire les émissions de NOx de 63 % par rapport à l’an dernier.
Le recyclage des gaz d’échappement constitue un point de contention, vu la fréquence du recyclage et son effet néfaste sur la consommation de carburant. Selon GM, le nouveau système présente une amélioration de 75 %, s’actionnant tous les 1 100 km environ. On pourra désormais parcourir 8 000 km avant de faire le plein de liquide d’échappement diesel (une solution à base d’urée).
Les ingénieurs de GM ont raffermi le devant du cadre d’environ 25 %, permettant de munir tout modèle Sierra d’un chasse-neige. De plus, un éventail de modifications opérées à l’avant, des bras de suspension aux bagues en uréthane, ont amélioré les sensations transmises par la direction à toute vitesse.
À l’arrière, des ressorts à lames asymétriques plus gros et une construction en deux étapes (trois pour la 3500) améliorent le travail de la suspension à divers degrés de charge, tout en augmentant la capacité de chargement d’un maximum de 14 % (selon ce que l’acheteur commande).
Quand on repense un moteur pour en augmenter la puissance, il faut retravailler la boîte de vitesses, et l’Allison 1000 n’y a pas échappé. D’abord, il fallait transmettre plus de puissance aux roues motrice et diminuant les pertes, afin d’améliorer la consommation et la distribution de chevaux-vapeur.
Afin de prendre en charge le nouveau Duramax de 6,6 litres, la boîte devait pouvoir gérer plus de puissance et de couple. D’autres prouesses d’ingénierie ont permis d’améliorer le 0 à 100 km/h et le quart de mille de 0,3 et 0,9 seconde, respectivement. Des chiffres impressionnants pour une camionnette de cette grosseur.
Du côté de la mécanique, GM a complètement repensé le cadre, la suspension, le moteur et la boîte de vitesses. On ne peut qualifier la machine de « toute nouvelle », mais la nouveauté se trouve là où il le faut.
Le Duramax de 6,6 litres utilise désormais des injecteurs Piezo fonctionnant à 2 000 bars ou 30 000 psi, afin de mieux contrôler le moment d’injection et améliorer la consommation. De plus, des modifications apportées à l’admission, à l’échappement et au bloc-moteur ont permis de créer un moteur plus silencieux, efficace et performant. Et ces changements ont permis de réduire les émissions de NOx de 63 % par rapport à l’an dernier.
Le Duramax de 6,6 litres utilise désormais des injecteurs Piezo fonctionnant à 2 000 bars ou 30 000 psi, afin de mieux contrôler le moment d’injection et améliorer la consommation. (Photo: Charles Renny/Auto123.com) |
Le recyclage des gaz d’échappement constitue un point de contention, vu la fréquence du recyclage et son effet néfaste sur la consommation de carburant. Selon GM, le nouveau système présente une amélioration de 75 %, s’actionnant tous les 1 100 km environ. On pourra désormais parcourir 8 000 km avant de faire le plein de liquide d’échappement diesel (une solution à base d’urée).
Les ingénieurs de GM ont raffermi le devant du cadre d’environ 25 %, permettant de munir tout modèle Sierra d’un chasse-neige. De plus, un éventail de modifications opérées à l’avant, des bras de suspension aux bagues en uréthane, ont amélioré les sensations transmises par la direction à toute vitesse.
À l’arrière, des ressorts à lames asymétriques plus gros et une construction en deux étapes (trois pour la 3500) améliorent le travail de la suspension à divers degrés de charge, tout en augmentant la capacité de chargement d’un maximum de 14 % (selon ce que l’acheteur commande).
Quand on repense un moteur pour en augmenter la puissance, il faut retravailler la boîte de vitesses, et l’Allison 1000 n’y a pas échappé. D’abord, il fallait transmettre plus de puissance aux roues motrice et diminuant les pertes, afin d’améliorer la consommation et la distribution de chevaux-vapeur.
Afin de prendre en charge le nouveau Duramax de 6,6 litres, la boîte devait pouvoir gérer plus de puissance et de couple. D’autres prouesses d’ingénierie ont permis d’améliorer le 0 à 100 km/h et le quart de mille de 0,3 et 0,9 seconde, respectivement. Des chiffres impressionnants pour une camionnette de cette grosseur.
À l’arrière, des ressorts à lames asymétriques plus gros et une construction en deux étapes (trois pour la 3500) améliorent le travail de la suspension à divers degrés de charge. (Photo: Charles Renny/Auto123.com) |