Assurément fringante
Dans le segment des compactes, les moteurs de moins de 2,0 litres sont habituellement réservés aux versions de base. Dans le cas de la Civic, c’est l’unique alternative, à moins bien sûr d’opter pour la berline sport Si. Développant 140 chevaux et 128 livres-pied de couple, le petit moteur de 1,8 litre égale la plupart de ses rivaux de 2,0 litres en termes de performance tout en brûlant moins d’essence. En outre, la boîte automatique à cinq rapports de la DX-G (modèle d’essai) se voulait une rareté dans la catégorie au moment du lancement de cette Civic.
Pesant à peine 1239 kilos, la voiture ne souffre d’aucun transfert de poids laborieux dans les virages, par exemple les bretelles d’autoroute. Au contraire, sa suspension agile et sa servodirection précise rendent la conduite très plaisante. Plus réactive que jamais, la Civic fait le bonheur de son conducteur autant sur les grands boulevards que les petites rues du centre-ville. On aime toujours se retrouver au volant d’un bolide aussi léger et fringant.
La boîte automatique fonctionne adéquatement et elle ne rate jamais un passage. Cela dit, elle ne bat pas le plaisir de conduire une Civic équipée d’une boîte manuelle. Chose certaine, n’importe qui pourra apprécier la faible consommation d’essence de cette petite Japonaise, indépendamment du style de conduite. Attendez-vous à une moyenne de seulement sept litres aux 100 kilomètres.
Disons les vraies choses…
Pour être tout à fait franc, je ne suis pas un aussi grand fan de la Civic que j’ai pu le laisser croire… à moins qu’il s’agisse d’une berline Civic Si de couleur blanche. J’ai personnellement vécu une mauvaise expérience avec un modèle 2006 et, oui, certains signes de vieillesse commencent à paraître. Toutefois, je semble faire partie de l’exception -- la Civic se veut toujours aussi populaire, peut-être même trop populaire. Je suis convaincu que son nom l’aide autant, sinon plus que ses qualités, à séduire les acheteurs. En effet, la réputation de la Civic est quasi impeccable, sa valeur de revente demeure élevée et ses coûts d’entretien, plutôt bas.
Bref, j’ai de la difficulté à la considérer comme ma voiture préférée, parce qu’elle représente un choix tellement évident, pour ne pas dire parfait (en ce qui me concerne, j’ai un penchant pour les héros obscurs). En bout de ligne, voici la vérité : il est presque impossible de se tromper lorsqu’on achète une nouvelle Civic.
photo:Matthieu Lambert
Dans le segment des compactes, les moteurs de moins de 2,0 litres sont habituellement réservés aux versions de base. Dans le cas de la Civic, c’est l’unique alternative, à moins bien sûr d’opter pour la berline sport Si. Développant 140 chevaux et 128 livres-pied de couple, le petit moteur de 1,8 litre égale la plupart de ses rivaux de 2,0 litres en termes de performance tout en brûlant moins d’essence. En outre, la boîte automatique à cinq rapports de la DX-G (modèle d’essai) se voulait une rareté dans la catégorie au moment du lancement de cette Civic.
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Pesant à peine 1239 kilos, la voiture ne souffre d’aucun transfert de poids laborieux dans les virages, par exemple les bretelles d’autoroute. Au contraire, sa suspension agile et sa servodirection précise rendent la conduite très plaisante. Plus réactive que jamais, la Civic fait le bonheur de son conducteur autant sur les grands boulevards que les petites rues du centre-ville. On aime toujours se retrouver au volant d’un bolide aussi léger et fringant.
La boîte automatique fonctionne adéquatement et elle ne rate jamais un passage. Cela dit, elle ne bat pas le plaisir de conduire une Civic équipée d’une boîte manuelle. Chose certaine, n’importe qui pourra apprécier la faible consommation d’essence de cette petite Japonaise, indépendamment du style de conduite. Attendez-vous à une moyenne de seulement sept litres aux 100 kilomètres.
Disons les vraies choses…
Pour être tout à fait franc, je ne suis pas un aussi grand fan de la Civic que j’ai pu le laisser croire… à moins qu’il s’agisse d’une berline Civic Si de couleur blanche. J’ai personnellement vécu une mauvaise expérience avec un modèle 2006 et, oui, certains signes de vieillesse commencent à paraître. Toutefois, je semble faire partie de l’exception -- la Civic se veut toujours aussi populaire, peut-être même trop populaire. Je suis convaincu que son nom l’aide autant, sinon plus que ses qualités, à séduire les acheteurs. En effet, la réputation de la Civic est quasi impeccable, sa valeur de revente demeure élevée et ses coûts d’entretien, plutôt bas.
Bref, j’ai de la difficulté à la considérer comme ma voiture préférée, parce qu’elle représente un choix tellement évident, pour ne pas dire parfait (en ce qui me concerne, j’ai un penchant pour les héros obscurs). En bout de ligne, voici la vérité : il est presque impossible de se tromper lorsqu’on achète une nouvelle Civic.
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| La réputation de la Civic est quasi impeccable, sa valeur de revente demeure élevée et ses coûts d’entretien, plutôt bas. |
photo:Matthieu Lambert
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