Un heureux mélange
Ce que j’admire particulièrement de la Crosstour, c’est la façon dont elle a brouillé les cartes de la distinction automobile traditionnelle, en mariant les qualités d’une des berlines les plus bien-aimées au Canada, avec les avantages et bienfaits qu’apporte la conduite d’un utilitaire.
Ce genre d’amalgame accroît largement la polyvalence d’un véhicule comme l’Accord. On peut ainsi profiter d’une dynamique de conduite rappelant l’Accord tout en sachant que le samedi matin, on peut charger notre attirail de ski dans la Crosstour puis prendre la route de la montagne avec la confiance que seules inspirent quatre roues motrices. Car effectivement, Honda qualifie la transmission intégrale de la Crosstour de système à quatre roues motrices.
Plutôt que de débattre de la légitimité de cette terminologie, je vais me contenter de dire que sur les routes humides, le système permet un soupçon de patinage des roues de devant, avant d’embrayer les roues arrière pour assurer une adhérence optimale. Vu que je n’ai pas eu l’occasion de mettre la technologie à l’épreuve dans une tempête de neige, je m’abstiendrai de commenter cette caractéristique et mentionnerai seulement que la Crosstour de base entraîne les roues avant.
Ce qui m’attire de ce véhicule encore plus que sa taille et sa forme, c’est la disponibilité d’un système quatre-quatre. Ça me surprendrait qu’il y ait une forte vague d’intérêt pour le format à traction, mais bon, il m’est déjà arrivé de me tromper quand il s’agit de tendances automobiles comme vestimentaires.
Sur la route
J’ai aimé conduire la Crosstour. Elle est un tantinet plus haute sur pattes qu’une berline traditionnelle, ce qui améliore quelque peu la visibilité, mais seulement quand on regarde à l’avant ou de chaque côté. La visibilité arrière se résume en un mot : lamentable. Les rétroviseurs extérieurs aident énormément à percevoir les objets à l’arrière, et si on a opté pour un système de navigation, la caméra de recul permet de se garer avec précision.
Une courte sortie sur des routes accidentées a rapidement confirmé la solidité structurale inébranlable de la Crosstour. C’est à partir de fondations rigides comme celles-ci que les systèmes de suspension sont à leur meilleur. Les entrailles de la Crosstour illustrent parfaitement ce postulat.
Ce que j’admire particulièrement de la Crosstour, c’est la façon dont elle a brouillé les cartes de la distinction automobile traditionnelle, en mariant les qualités d’une des berlines les plus bien-aimées au Canada, avec les avantages et bienfaits qu’apporte la conduite d’un utilitaire.
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| Honda qualifie la transmission intégrale de la Crosstour de système à quatre roues motrices. |
Ce genre d’amalgame accroît largement la polyvalence d’un véhicule comme l’Accord. On peut ainsi profiter d’une dynamique de conduite rappelant l’Accord tout en sachant que le samedi matin, on peut charger notre attirail de ski dans la Crosstour puis prendre la route de la montagne avec la confiance que seules inspirent quatre roues motrices. Car effectivement, Honda qualifie la transmission intégrale de la Crosstour de système à quatre roues motrices.
Plutôt que de débattre de la légitimité de cette terminologie, je vais me contenter de dire que sur les routes humides, le système permet un soupçon de patinage des roues de devant, avant d’embrayer les roues arrière pour assurer une adhérence optimale. Vu que je n’ai pas eu l’occasion de mettre la technologie à l’épreuve dans une tempête de neige, je m’abstiendrai de commenter cette caractéristique et mentionnerai seulement que la Crosstour de base entraîne les roues avant.
Ce qui m’attire de ce véhicule encore plus que sa taille et sa forme, c’est la disponibilité d’un système quatre-quatre. Ça me surprendrait qu’il y ait une forte vague d’intérêt pour le format à traction, mais bon, il m’est déjà arrivé de me tromper quand il s’agit de tendances automobiles comme vestimentaires.
Sur la route
J’ai aimé conduire la Crosstour. Elle est un tantinet plus haute sur pattes qu’une berline traditionnelle, ce qui améliore quelque peu la visibilité, mais seulement quand on regarde à l’avant ou de chaque côté. La visibilité arrière se résume en un mot : lamentable. Les rétroviseurs extérieurs aident énormément à percevoir les objets à l’arrière, et si on a opté pour un système de navigation, la caméra de recul permet de se garer avec précision.
Une courte sortie sur des routes accidentées a rapidement confirmé la solidité structurale inébranlable de la Crosstour. C’est à partir de fondations rigides comme celles-ci que les systèmes de suspension sont à leur meilleur. Les entrailles de la Crosstour illustrent parfaitement ce postulat.
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| La Crosstour fait appel à la mécanique accomplie de l’Accord, dont un V6 i-VTEC à SACT de 3,5 litres et 271 ch. |