Élégance et luxe
Une nuit, j'ai laissé la XKR dans mon garage avec la capote rabattue. Le lendemain matin, la riche arôme du cuir anglais se faisait sentir partout dans le garage, masquant l'odeur des outils, de la tondeuse et de la moto. Les habitacles de Jaguar ont un cachet unique et la XKR ne fait que l'amplifier.
Les occupants avant bénéficient d'un confort remarquable et d'ajustements quasi infinis. Les places arrière, en revanche, ne conviennent qu'à de jeunes enfants ou aux bagages qui n'entrent pas dans le coffre. Ce dernier, lorsque le toit est rangé, est relativement peu volumineux. Précisons que la XKR vient tout équipée mais que Jaguar offre en option quelques ensembles de roues et groupes d'accessoires.
À ma grande déception, plusieurs fonctions et réglages peuvent uniquement être ajustés via l'écran tactile sur le tableau de bord, qui sert également au système de navigation. Il faut du temps pour se familiariser avec la marche à suivre et la hiérarchie de l'information à travers les nombreux menus. Oui, cette technologie est sophistiquée, mais j'aurais préféré davantage de boutons et de touches autour de l'écran.
Apprivoiser la bête
La XKR est une voiture géniale, avec ou sans toit. C'est aussi une bête facile à apprivoiser; conduire en ville est une affaire des plus simple. Lorsque les circonstances le permettent, la XKR est impatiente d'attaquer vigoureusement les petites routes sinueuses de la grande banlieue. Elle est cependant assoiffée et exige rien de moins que de l'essence à indice d'octane de 91. L'ordinateur de bord de mon modèle d'essai a indiqué une moyenne de 16,3 L/100 km. Ouch!
Bien sûr, la consommation a probablement peu d'intérêt pour tous ceux qui ont les moyens de se payer une XKR. La qualité et le prestige sont beaucoup plus importants que de simples préoccupations économiques et environnementales. L'attention suscitée et les commentaires élogieux que j'ai recueillis illustrent tout le mérite de cette Jaguar. Bref, la XKR n'est pas vraiment l'Aston Martin des pauvres...
photo:Rob Rothwell
Une nuit, j'ai laissé la XKR dans mon garage avec la capote rabattue. Le lendemain matin, la riche arôme du cuir anglais se faisait sentir partout dans le garage, masquant l'odeur des outils, de la tondeuse et de la moto. Les habitacles de Jaguar ont un cachet unique et la XKR ne fait que l'amplifier.
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| En s'assoyant dans une Jaguar, on peut voir, sentir et ressentir le luxe absolument partout. |
Les occupants avant bénéficient d'un confort remarquable et d'ajustements quasi infinis. Les places arrière, en revanche, ne conviennent qu'à de jeunes enfants ou aux bagages qui n'entrent pas dans le coffre. Ce dernier, lorsque le toit est rangé, est relativement peu volumineux. Précisons que la XKR vient tout équipée mais que Jaguar offre en option quelques ensembles de roues et groupes d'accessoires.
À ma grande déception, plusieurs fonctions et réglages peuvent uniquement être ajustés via l'écran tactile sur le tableau de bord, qui sert également au système de navigation. Il faut du temps pour se familiariser avec la marche à suivre et la hiérarchie de l'information à travers les nombreux menus. Oui, cette technologie est sophistiquée, mais j'aurais préféré davantage de boutons et de touches autour de l'écran.
Apprivoiser la bête
La XKR est une voiture géniale, avec ou sans toit. C'est aussi une bête facile à apprivoiser; conduire en ville est une affaire des plus simple. Lorsque les circonstances le permettent, la XKR est impatiente d'attaquer vigoureusement les petites routes sinueuses de la grande banlieue. Elle est cependant assoiffée et exige rien de moins que de l'essence à indice d'octane de 91. L'ordinateur de bord de mon modèle d'essai a indiqué une moyenne de 16,3 L/100 km. Ouch!
Bien sûr, la consommation a probablement peu d'intérêt pour tous ceux qui ont les moyens de se payer une XKR. La qualité et le prestige sont beaucoup plus importants que de simples préoccupations économiques et environnementales. L'attention suscitée et les commentaires élogieux que j'ai recueillis illustrent tout le mérite de cette Jaguar. Bref, la XKR n'est pas vraiment l'Aston Martin des pauvres...
photo:Rob Rothwell
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