J’ai effectué un retour aux sources plus tôt cette semaine en disputant une course de karting. Pour découvrir ce qu’est la Sodi World Series, j’ai donc participé à la seconde étape tenue au circuit de SRA Karting.
Cette série de championnats se dispute localement partout dans le monde et au printemps de l’année suivante, 250 pilotes des cinq continents participent à la finale mondiale disputée avec des karts Sodi GT MAX à moteurs 2-temps de 125cc.
Des championnats nationaux sont tenus dans 30 pays, incluant le Canada, l’Allemagne, l’Australie, le Japon, la Russie et le Mexique.
Au Canada, seules deux pistes tiennent actuellement des épreuves de Grand Prix Open, soit KCR à Château-Richer près de la ville de Québec, et SRA à St-Roch-de-l’Achigan.
Les karts sont tous identiques à travers le monde : des Sodikart RT8 à moteurs Honda GX270 de 9 chevaux.
Une compétition se déroule en un peu plus de deux heures en soirée. Après l’inscription, les karts sont tirés au hasard. Puis, c’est une séance de qualification, puis deux courses de 10 tours.
Pour égaliser les chances, le poids minimum du pilote doit être de 180 livres. Si vous ne faites pas le poids, comme moi avec mes maigres 137 livres, les organisateurs ajoutent du ballast aux karts. Tout le monde est à égalité !
Tout le monde peut participer, à condition d’être âgé d’au moins 15 ans révolus, et de ne pas avoir été le détenteur d’une licence de compétition au cours des trois dernières saisons.
Le championnat compte neuf dates (soit un total de 18 finales), mais seuls les 8 meilleurs résultats sont additionnés pour déterminer le grand vainqueur.
C’est extrêmement compétitif. Lors de la course 2, la différence entre le meilleur et le moins bon chrono n’était que de 1,589 seconde ! En qualification, les 15 premiers pilotes étaient dans la même seconde !
J’ai a-do-ré mon expérience ! C’était la première fois que je conduisais ces karts RT8. Je me suis qualifié 14e (sur 26), puis j’ai croisé l’arrivée en 10e place, puis en 7e. C’est certain : je refais une course. Ou deux…
Les points positifs…
Abordable. L’inscription au championnat est gratuite. Le tarif n’est que de 50$+taxes pour la qualification et une finale, ou de 70$+taxes pour la qualification et deux finales.
Les karts. Ils sont neufs, performants, bien équilibrés et aux performances uniformes. Il est donc difficile de blâmer la mécanique, à moins de bris majeur.
Le poids. Un petit pilote léger, comme moi, ne peut plus disposer d’un avantage déloyal. Tous les karts, avec les pilotes, ont le même poids.
Le prix. Le grand prix offert est vraiment attirant avec cette participation, toutes dépenses payées, à la finale mondiale.
La piste. La piste de SRA, qui a déjà accueilli le Championnat du monde, est homologuée par la CIK. Elle est rapide, difficile et bien éclairée en soirée.
Les points négatifs…
L'ambiance. Qui dit compétition, dit adrénaline. Alors il arrive qu’à la fin de courses, certains participants aient des discussions « animées » avec d’autres.
Le pilotage. Cette série s’adresse d’abord à des néophytes. La plupart des participants sont très rapides, mais ne sont pas tous au courant de l’étiquette, ou des règles non écrites, à respecter en course automobile.
Pour d’autres informations et le calendrier, cliquez sur :
http://www.srakarting.com/location/sodi-world-series/
Cette série de championnats se dispute localement partout dans le monde et au printemps de l’année suivante, 250 pilotes des cinq continents participent à la finale mondiale disputée avec des karts Sodi GT MAX à moteurs 2-temps de 125cc.
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| No. 5, Renaud Auger-Labonté, le plus rapide en qualification et vainqueur de la course 1. (Photo: Daniel Lamothe) |
Des championnats nationaux sont tenus dans 30 pays, incluant le Canada, l’Allemagne, l’Australie, le Japon, la Russie et le Mexique.
Au Canada, seules deux pistes tiennent actuellement des épreuves de Grand Prix Open, soit KCR à Château-Richer près de la ville de Québec, et SRA à St-Roch-de-l’Achigan.
Les karts sont tous identiques à travers le monde : des Sodikart RT8 à moteurs Honda GX270 de 9 chevaux.
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| René Fagnan (Photo: Daniel Lamothe) |
Une compétition se déroule en un peu plus de deux heures en soirée. Après l’inscription, les karts sont tirés au hasard. Puis, c’est une séance de qualification, puis deux courses de 10 tours.
Pour égaliser les chances, le poids minimum du pilote doit être de 180 livres. Si vous ne faites pas le poids, comme moi avec mes maigres 137 livres, les organisateurs ajoutent du ballast aux karts. Tout le monde est à égalité !
Tout le monde peut participer, à condition d’être âgé d’au moins 15 ans révolus, et de ne pas avoir été le détenteur d’une licence de compétition au cours des trois dernières saisons.
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| La grille de départ. (Photo: Daniel Lamothe) |
Le championnat compte neuf dates (soit un total de 18 finales), mais seuls les 8 meilleurs résultats sont additionnés pour déterminer le grand vainqueur.
C’est extrêmement compétitif. Lors de la course 2, la différence entre le meilleur et le moins bon chrono n’était que de 1,589 seconde ! En qualification, les 15 premiers pilotes étaient dans la même seconde !
J’ai a-do-ré mon expérience ! C’était la première fois que je conduisais ces karts RT8. Je me suis qualifié 14e (sur 26), puis j’ai croisé l’arrivée en 10e place, puis en 7e. C’est certain : je refais une course. Ou deux…
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| No. 30 René Fagnan (Photo: Daniel Lamothe) |
Les points positifs…
Abordable. L’inscription au championnat est gratuite. Le tarif n’est que de 50$+taxes pour la qualification et une finale, ou de 70$+taxes pour la qualification et deux finales.
Les karts. Ils sont neufs, performants, bien équilibrés et aux performances uniformes. Il est donc difficile de blâmer la mécanique, à moins de bris majeur.
Le poids. Un petit pilote léger, comme moi, ne peut plus disposer d’un avantage déloyal. Tous les karts, avec les pilotes, ont le même poids.
Le prix. Le grand prix offert est vraiment attirant avec cette participation, toutes dépenses payées, à la finale mondiale.
La piste. La piste de SRA, qui a déjà accueilli le Championnat du monde, est homologuée par la CIK. Elle est rapide, difficile et bien éclairée en soirée.
Les points négatifs…
L'ambiance. Qui dit compétition, dit adrénaline. Alors il arrive qu’à la fin de courses, certains participants aient des discussions « animées » avec d’autres.
Le pilotage. Cette série s’adresse d’abord à des néophytes. La plupart des participants sont très rapides, mais ne sont pas tous au courant de l’étiquette, ou des règles non écrites, à respecter en course automobile.
Pour d’autres informations et le calendrier, cliquez sur :
http://www.srakarting.com/location/sodi-world-series/