Profitant d'une position de conduite adéquate, le pire qui pourrait arriver serait que la conduite vous ennuie. Or, ce n'est pas le cas. En fait, la tenue de route et la maniabilité de cette Kia se révèlent étonnantes. Michel et moi avons brièvement visité la campagne, question aussi de planifier le trajet que nous utiliserons lors d'un prochain match comparatif. Quelques-unes des routes se démarquaient par leur enchaînement de virages et leur chaussée accidentée. J'ai négocié certaines courbes à des vitesses plus importantes que le suggère le gros bon sens et la berline a maintenu le cap sans broncher.
La suspension contrôle constamment les mouvements du châssis et ses réglages m'ont paru bien assortis au mordant des pneus de 18 pouces, même sur les sections les plus endommagées. Un gros merci à la direction à assistance électronique, dont la docilité et le feedback permettent de garder la voiture sur le droit chemin. Les freins à disque se sont montrés à la hauteur malgré une sollicitation répétée dans les courbes en question. Oui, j'ai éprouvé plus de plaisir à conduire l'Optima que je ne l'aurais dû, mais grâce à moi, vous savez maintenant à quel point elle peut exciter.
Une bonne part du crédit revient aussi au moteur à quatre cylindres de 2,4 litres qui génère une puissance de 200 chevaux et un couple de 186 livres-pied. Solide! La boîte automatique Sportmatic à six rapports (optionnelle) accepte de se prêter au jeu quand on enfonce la pédale des gaz jusqu'au tapis. Si ses réactions ne vous satisfont pas, le mode manuel aidera. Je l'ai trouvé pas mal efficace et agréable à utiliser sur les chemins de campagne.
Les accélérations ne laissent pas de doute, à tel point que mon côté raisonnable s'interroge sur la pertinence du moteur turbocompressé de 274 chevaux également au menu. Dieu merci, je ne suis pas toujours si prudent et j'apprécie un comportement plus explosif... et la gloire qui en découle, bien entendu.
Fait remarquable, le moteur de base possède un autre atout dans sa manche. Après 750 kilomètres, dont 60 % sur l'autoroute, j'ai noté une consommation d'essence moyenne de seulement 9,0 L/100 km. Rappelez-vous que j'ai gardé un pied pesant la moitié du temps ou presque. Autrement, je l'ai à peine battue...
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| Une bonne part du crédit revient aussi au moteur à quatre cylindres de 2,4 litres qui génère une puissance de 200 chevaux et un couple de 186 livres-pied. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |
La suspension contrôle constamment les mouvements du châssis et ses réglages m'ont paru bien assortis au mordant des pneus de 18 pouces, même sur les sections les plus endommagées. Un gros merci à la direction à assistance électronique, dont la docilité et le feedback permettent de garder la voiture sur le droit chemin. Les freins à disque se sont montrés à la hauteur malgré une sollicitation répétée dans les courbes en question. Oui, j'ai éprouvé plus de plaisir à conduire l'Optima que je ne l'aurais dû, mais grâce à moi, vous savez maintenant à quel point elle peut exciter.
Une bonne part du crédit revient aussi au moteur à quatre cylindres de 2,4 litres qui génère une puissance de 200 chevaux et un couple de 186 livres-pied. Solide! La boîte automatique Sportmatic à six rapports (optionnelle) accepte de se prêter au jeu quand on enfonce la pédale des gaz jusqu'au tapis. Si ses réactions ne vous satisfont pas, le mode manuel aidera. Je l'ai trouvé pas mal efficace et agréable à utiliser sur les chemins de campagne.
Les accélérations ne laissent pas de doute, à tel point que mon côté raisonnable s'interroge sur la pertinence du moteur turbocompressé de 274 chevaux également au menu. Dieu merci, je ne suis pas toujours si prudent et j'apprécie un comportement plus explosif... et la gloire qui en découle, bien entendu.
Fait remarquable, le moteur de base possède un autre atout dans sa manche. Après 750 kilomètres, dont 60 % sur l'autoroute, j'ai noté une consommation d'essence moyenne de seulement 9,0 L/100 km. Rappelez-vous que j'ai gardé un pied pesant la moitié du temps ou presque. Autrement, je l'ai à peine battue...
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| Après 750 kilomètres, dont 60 % sur l'autoroute, j'ai noté une consommation d'essence moyenne de seulement 9,0 L/100 km. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |