L’habitacle remporte la palme, avec son ambiance à forte saveur allemande : teintes foncées, textures haut de gamme et bloc d’instruments qui plaît autant aux technophiles qu’aux acheteurs dotés de discernement. Mon modèle d’essai, le SX haut de gamme, profitait du démarrage par bouton poussoir, d’un système de navigation avec caméra de recul, de surfaces en cuir et d’innombrables gadgets de rigueur aujourd’hui. Et le prix final ne dépasse pas les 50 000 $, taxes et frais de livraisons inclus.
Le degré de travail impressionne pour une « simple » Kia… or il s’agit maintenant d’une norme chez ce constructeur coréen. Passez chez un concessionnaire jeter un coup d’œil à l’intérieur du Sportage, de la Forte et de la prochaine Optima. Oui, ce sont tous des Kia!
Parmi les quelques petits irritants apparus après quelques minutes ou journées derrière le volant du Sorento, voici ce qui ressort : la position de conduite est toujours un peu bizarre. Les constructeurs coréens, pour la plupart, éprouvent généralement de la difficulté avec les dimensions nord-américaines. Même à l’aide du volant inclinable et télescopique, je n’ai jamais trouvé le parfait équilibre entre confort et maîtrise.
Ensuite, il y a un groupe de boutons à gauche du volant, sur la partie inférieure du tableau de bord. On y trouve la commande pour l’essuie-glace arrière qui, soit dit en passant, est dissimulée par le truc même que doit empoigner le conducteur. Peut-être avec un peu plus de pratique, j’aurais repéré la commande à tout coup, mais elle serait toujours loin et me forcerait encore à m’étirer pas mal.
Le Sorento peut accueillir sept passagers. La banquette arrière, comme toujours, reste l’apanage des enfants. Les cinq autres sièges offrent beaucoup de place et de confort. Les sièges avant pourraient soutenir les cuisses un tantinet mieux, mais c’est tout. Et le coffre est grand. Rien à redire là.
Si vous optez pour un Sorento de base, vous obtiendrez un quatre-cylindres de 2,4 litres. Ses 175 ch suffisent pour le trajet quotidien, toutefois ne vous attendez pas à mettre le feu à la route. Et si Toyota peut animer sa massive Sienna à l’aide d’un 4-cylindres, la formule peut fonctionner ici… et le fait d’ailleurs.
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| Le SX haut de gamme, profitait du démarrage par bouton poussoir, d’un système de navigation avec caméra de recul et d’innombrables gadgets de rigueur aujourd’hui. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Le degré de travail impressionne pour une « simple » Kia… or il s’agit maintenant d’une norme chez ce constructeur coréen. Passez chez un concessionnaire jeter un coup d’œil à l’intérieur du Sportage, de la Forte et de la prochaine Optima. Oui, ce sont tous des Kia!
Parmi les quelques petits irritants apparus après quelques minutes ou journées derrière le volant du Sorento, voici ce qui ressort : la position de conduite est toujours un peu bizarre. Les constructeurs coréens, pour la plupart, éprouvent généralement de la difficulté avec les dimensions nord-américaines. Même à l’aide du volant inclinable et télescopique, je n’ai jamais trouvé le parfait équilibre entre confort et maîtrise.
Ensuite, il y a un groupe de boutons à gauche du volant, sur la partie inférieure du tableau de bord. On y trouve la commande pour l’essuie-glace arrière qui, soit dit en passant, est dissimulée par le truc même que doit empoigner le conducteur. Peut-être avec un peu plus de pratique, j’aurais repéré la commande à tout coup, mais elle serait toujours loin et me forcerait encore à m’étirer pas mal.
Le Sorento peut accueillir sept passagers. La banquette arrière, comme toujours, reste l’apanage des enfants. Les cinq autres sièges offrent beaucoup de place et de confort. Les sièges avant pourraient soutenir les cuisses un tantinet mieux, mais c’est tout. Et le coffre est grand. Rien à redire là.
Si vous optez pour un Sorento de base, vous obtiendrez un quatre-cylindres de 2,4 litres. Ses 175 ch suffisent pour le trajet quotidien, toutefois ne vous attendez pas à mettre le feu à la route. Et si Toyota peut animer sa massive Sienna à l’aide d’un 4-cylindres, la formule peut fonctionner ici… et le fait d’ailleurs.
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| Le Sorento peut accueillir sept passagers. La banquette arrière, comme toujours, reste l’apanage des enfants. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |