Lotus est reconnu mondialement pour fabriquer des voitures de performance ultra légères ainsi que des véhicules plus écologiques employant des systèmes plus respectueux de l'environnement. Par exemple, le constructeur projette de construire un parc éolien en plein milieu de son circuit d'essai, et ce, afin d'alimenter son usine adjacente.
Sa plus récente initiative verte prend la forme de l'Exige 265E, un modèle spécial qui est compatible avec plusieurs carburants, allant de l'essence pure jusqu'au bioéthanol E85 (15 % d'essence seulement).
Les visiteurs au prochain salon de la Société des ingénieurs automobiles du Japon, à Yokohama, seront les premiers (après les Anglais, bien sûr) à admirer en personne cette voiture à motorisation polycarburant, puisqu'elle y sera présentée en grande pompe.
Il s'agit, dit-on, de l'un des véhicules les plus rapides à être alimentés au bioéthanol. Le moteur suralimenté à quatre cylindres de la 265E est dérivé de l'Exige S. Il est capable de propulser la voiture de 930 kilos de 0 à 100 km/h en quatre secondes et il permet d'atteindre une vitesse maximale de 254 km/h.
Un capteur dans le réservoir surveille en temps réel le mélange bioéthanol/essence et fournit des informations à l'ordinateur pour ajuster l'allumage, l'injection, le calage des soupapes et le phasage des arbres à cames.
photo:Lotus
Sa plus récente initiative verte prend la forme de l'Exige 265E, un modèle spécial qui est compatible avec plusieurs carburants, allant de l'essence pure jusqu'au bioéthanol E85 (15 % d'essence seulement).
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Les visiteurs au prochain salon de la Société des ingénieurs automobiles du Japon, à Yokohama, seront les premiers (après les Anglais, bien sûr) à admirer en personne cette voiture à motorisation polycarburant, puisqu'elle y sera présentée en grande pompe.
Il s'agit, dit-on, de l'un des véhicules les plus rapides à être alimentés au bioéthanol. Le moteur suralimenté à quatre cylindres de la 265E est dérivé de l'Exige S. Il est capable de propulser la voiture de 930 kilos de 0 à 100 km/h en quatre secondes et il permet d'atteindre une vitesse maximale de 254 km/h.
Un capteur dans le réservoir surveille en temps réel le mélange bioéthanol/essence et fournit des informations à l'ordinateur pour ajuster l'allumage, l'injection, le calage des soupapes et le phasage des arbres à cames.
photo:Lotus
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