Land Rover a la réputation de construire des véhicules hors-route extraordinaires – la lignée Range Rover plus luxueuse ne fait pas exception à la règle – mais le prestige, le cachet et l’aura traditionnelle dégagés sont tout aussi importants.
Cette tradition subit justement quelques transformations importantes à l’heure actuelle – le changement de garde est radical voire audacieux.
Rien ne dit « nouveau » comme une semaine passée à bord du Range Rover Evoque 2012. Comment Land Rover a enfanté tel chef-d’œuvre dépasse l’horizon de mon rationalisme.
Peut-être ma vision des choses est-elle biaisée par mon propre Land Rover Discovery Series II. Ce serait bien. Un jour, j’ai demandé à un mécanicien Land Rover quel était ce bruit qui émanait de l’arbre de transmission. « C’est quand ils ne font pas de bruit de cognement qu’il faut s’inquiéter », a-t-il répliqué, narquois.
C’est ce genre d’épisode qui me porte à réfléchir sur le Evoque et le futur de Land Rover.
Le Evoque a vu le jour en tant que concept LRX, un véhicule qui devait combler le manque dans la gamme Range Rover. Rien de plus normal pour une marque que d’identifier et de combler un manque dans sa gamme, surtout quand l’affaire a été mûrement réfléchie et que le nouveau modèle répond aux besoins ciblés.
Mais il y a un mais.
Land Rover – la bonne vieille marque britannique aux garnitures de bois et de cuir – est sortie avec un design qui change tout. Même d’après les standards de marques audacieuses telles Porsche et Audi, c’est un changement radical. La discordance me rappelle la coupe afro de mon frère.
Révoltant!
Heureusement, le design enfanté par le côté fou de Land Rover ne rappelle en rien la silhouette de mon frangin. Le Evoque est beaucoup plus attirant.
Quand le LRX a fait son apparition sur les planchers des salons autos, l’effet a été immédiat. C’est un euphémisme de dire qu’il a connu beaucoup de succès. Les réactions positives étaient sans équivoque, mais les journalistes doutaient que la version finale reste fidèle au concept.
Cette tradition subit justement quelques transformations importantes à l’heure actuelle – le changement de garde est radical voire audacieux.
Rien ne dit « nouveau » comme une semaine passée à bord du Range Rover Evoque 2012. Comment Land Rover a enfanté tel chef-d’œuvre dépasse l’horizon de mon rationalisme.
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| Range Rover Evoque 2012 (Photo: Rob Rothwell) |
Peut-être ma vision des choses est-elle biaisée par mon propre Land Rover Discovery Series II. Ce serait bien. Un jour, j’ai demandé à un mécanicien Land Rover quel était ce bruit qui émanait de l’arbre de transmission. « C’est quand ils ne font pas de bruit de cognement qu’il faut s’inquiéter », a-t-il répliqué, narquois.
C’est ce genre d’épisode qui me porte à réfléchir sur le Evoque et le futur de Land Rover.
Le Evoque a vu le jour en tant que concept LRX, un véhicule qui devait combler le manque dans la gamme Range Rover. Rien de plus normal pour une marque que d’identifier et de combler un manque dans sa gamme, surtout quand l’affaire a été mûrement réfléchie et que le nouveau modèle répond aux besoins ciblés.
Mais il y a un mais.
Land Rover – la bonne vieille marque britannique aux garnitures de bois et de cuir – est sortie avec un design qui change tout. Même d’après les standards de marques audacieuses telles Porsche et Audi, c’est un changement radical. La discordance me rappelle la coupe afro de mon frère.
Révoltant!
Heureusement, le design enfanté par le côté fou de Land Rover ne rappelle en rien la silhouette de mon frangin. Le Evoque est beaucoup plus attirant.
Quand le LRX a fait son apparition sur les planchers des salons autos, l’effet a été immédiat. C’est un euphémisme de dire qu’il a connu beaucoup de succès. Les réactions positives étaient sans équivoque, mais les journalistes doutaient que la version finale reste fidèle au concept.
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| Concept Range Rover LRX (Photo: Lan Rover) |