Le constructeur automobile allemand Audi a remporté la victoire lors de 11 des 14 dernières éditions des 24 Heures du Mans. Le plus incroyable est que les Audi ont roulé de plus en plus vite en dépit des règlements techniques forts contraignants.
Les ingénieurs ont travaillé très fort afin d’accroître l’efficacité aérodynamique de ses voitures de classe LMP.
Afin de réduire la traînée, Audi produit des radiateurs à micro-tubes qui ont remplacé les radiateurs à ailettes traditionnels qui génèrent beaucoup de turbulences.
Le liquide refroidissant circule dans un système fait de plus de 11 000 minuscules tubes insérés dans chaque radiateur, ce qui élimine le besoin d’ailettes. La forme des radiateurs peut aussi être facilement adaptée.
Ainsi, à radiateur de taille égale, la résistance de l’air peut être réduite de 25%. Inversement, avec la même pression, on peut alors réduire la surface des radiateurs.
« Les temps au tour reflètent bien les gains effectués en efficacité aérodynamique », déclare le Dr Wolfgang Ullrich, le directeur général d’Audi Motorsport.
« Il existe évidemment plusieurs autres facteurs qui contribuent à l’amélioration des chronos tels le groupe motopropulseur, les pneus, le châssis, la répartition du poids et autres. Mais en 2006, le tour le plus rapide fut réalisé en 3m31,211. L’Audi R10 TDI de l’époque était propulsée par un moteur 12 cylindres de 5,5 litres produisant 650 chevaux. Six ans plus tard, le meilleur était réalisé en 3m24,189, soit sept secondes plus vite. Toutefois, la R18 de 2012 possédait un petit moteur V6 de 3,7 litres qui ne développait que 510 chevaux. L’aérodynamique joue un rôle crucial, et la carrosserie à queue longue que nous emploierons cette année devrait nous procurer un avantage net », de dire le Dr Ullrich.
Les ingénieurs ont travaillé très fort afin d’accroître l’efficacité aérodynamique de ses voitures de classe LMP.
Afin de réduire la traînée, Audi produit des radiateurs à micro-tubes qui ont remplacé les radiateurs à ailettes traditionnels qui génèrent beaucoup de turbulences.
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| Photo: Audi Motorsport |
Le liquide refroidissant circule dans un système fait de plus de 11 000 minuscules tubes insérés dans chaque radiateur, ce qui élimine le besoin d’ailettes. La forme des radiateurs peut aussi être facilement adaptée.
Ainsi, à radiateur de taille égale, la résistance de l’air peut être réduite de 25%. Inversement, avec la même pression, on peut alors réduire la surface des radiateurs.
« Les temps au tour reflètent bien les gains effectués en efficacité aérodynamique », déclare le Dr Wolfgang Ullrich, le directeur général d’Audi Motorsport.
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| Photo: Audi Motorsport |
« Il existe évidemment plusieurs autres facteurs qui contribuent à l’amélioration des chronos tels le groupe motopropulseur, les pneus, le châssis, la répartition du poids et autres. Mais en 2006, le tour le plus rapide fut réalisé en 3m31,211. L’Audi R10 TDI de l’époque était propulsée par un moteur 12 cylindres de 5,5 litres produisant 650 chevaux. Six ans plus tard, le meilleur était réalisé en 3m24,189, soit sept secondes plus vite. Toutefois, la R18 de 2012 possédait un petit moteur V6 de 3,7 litres qui ne développait que 510 chevaux. L’aérodynamique joue un rôle crucial, et la carrosserie à queue longue que nous emploierons cette année devrait nous procurer un avantage net », de dire le Dr Ullrich.