D'après GMM
Selon un de ses amis, avec sa grande volonté, Robert Kubica fait des progrès constants significatifs.
C'est ce qu'indique son ami, Mikolaj Sokol, dans le journal polonais Rzeczpospolita.
« Sa condition actuelle est un miracle. Après l'avoir vu à Pietra Ligure (hôpital) quelques heures après son opération, je ne l'aurais jamais cru », explique Mikolaj Sokol selon le site internet sport10.at.
Robert Kubica est maintenant capable de marcher seul et n'attend qu'une dernière opération à la fin du mois pour améliorer la fonctionnalité de son coude. Son ami explique que la volonté de revenir de Robert Kubica est remarquable.
« Alors qu'il était affaibli sur son lit d'hôpital avec des cachets, il avait toujours le mot pour plaisanter. Dès qu'il le pouvait il faisait travailler les parties de son corps qui pouvaient bouger. Lorsqu'il a été autorisé à quitter le lit, au prix de grandes douleurs il faisait fonctionner sa jambe droite autant qu'il le pouvait », affirme Mikolaj Sokol.
Mark Webber, qui a vécu une fracture ouverte de la jambe durant l'intersaison 2009, affirme que la rééducation est « très frustrante ».
Sur le portail internet polonais, onet.pl, l'Australien explique : « On peut progresser durant trois jours et ne faire aucun progrès les trois jours suivants. Les exercices quotidiens sont fastidieux, c'est comme construire une immense mur, brique par brique ».
Selon un de ses amis, avec sa grande volonté, Robert Kubica fait des progrès constants significatifs.
C'est ce qu'indique son ami, Mikolaj Sokol, dans le journal polonais Rzeczpospolita.
« Sa condition actuelle est un miracle. Après l'avoir vu à Pietra Ligure (hôpital) quelques heures après son opération, je ne l'aurais jamais cru », explique Mikolaj Sokol selon le site internet sport10.at.
Robert Kubica est maintenant capable de marcher seul et n'attend qu'une dernière opération à la fin du mois pour améliorer la fonctionnalité de son coude. Son ami explique que la volonté de revenir de Robert Kubica est remarquable.
« Alors qu'il était affaibli sur son lit d'hôpital avec des cachets, il avait toujours le mot pour plaisanter. Dès qu'il le pouvait il faisait travailler les parties de son corps qui pouvaient bouger. Lorsqu'il a été autorisé à quitter le lit, au prix de grandes douleurs il faisait fonctionner sa jambe droite autant qu'il le pouvait », affirme Mikolaj Sokol.
Mark Webber, qui a vécu une fracture ouverte de la jambe durant l'intersaison 2009, affirme que la rééducation est « très frustrante ».
Sur le portail internet polonais, onet.pl, l'Australien explique : « On peut progresser durant trois jours et ne faire aucun progrès les trois jours suivants. Les exercices quotidiens sont fastidieux, c'est comme construire une immense mur, brique par brique ».