Prenez place dans la Lexus CT 200h (sur possiblement les sièges les plus confortables de tous les temps) et vous serez agréablement surpris. Pour ce premier hybride compact de luxe, Lexus a fait un point d’honneur de créer un habitacle aussi invitant que possible… et a gagné son pari. Pour une petite voiture, l’intérieur de la CT s’avère joyeusement spacieux. Deux, trois, quatre ou cinq adultes y prennent leurs aises.
Et je peux fièrement vous annoncer que ce petit bolide a passé l’épreuve du Costco. En effet, j’ai réussi à y enfourner un congélateur vertical de 5 pi3 (emballé), malgré un volume de coffre de 14,3 pi3 ou 405 litres, dû à la position de la batterie. Impressionnant, laissez-moi vous dire.
Suave et contemporaine, la console centrale présente un levier de vitesses qui ressemble à une pioche d’alpiniste, mais qu’on doit apprivoiser, avec son retour abrupt et son mode « B » (pour accélérer la recharge de la batterie sur les descentes raides et en freinage intense) ainsi qu’une chaîne audio qui semble avoir changé de place avec le climatiseur. L’emplacement de la radio n’aurait pas causé de problèmes si les boutons pour le volume et la sélection des pistes avaient été un peu plus gros. Je me sentais comme une géante qui essayait tant bien que mal de changer de poste. J’ai dû faire preuve d’une précision exemplaire.
Mais le plus cool, c’est sans doute la molette de sélection des modes de conduite. Ainsi, on peut choisir de conduire en mode Eco, Normal, Sport ou EV (entièrement électrique). Bref, ce petit bouton astucieux nous permet de commander majestueusement le 4-cylindres de 1,8 litre ainsi que la batterie à hydrure métallique de nickel.
En mode Eco, la voiture se fait raffinée et posée, maintenant le régime le plus économique aussi souvent que possible et passant au mode électrique quand il le peut (à faible vitesse, à l’arrêt). Le tableau de bord affiche un beau petit indicateur Charge/Eco/Puissance qui nous permet de surveiller l’influence de notre pied droit sur l’efficacité de la CT 200h. Donnez un petit coup de poignet, et vous voilà complètement à l’autre bout de l’échelle, en mode Sport; le tableau prend alors une teinte rougeâtre, et votre indicateur devient un tachymètre.
Et voici la première lueur de révélation au volant de cette Lexus : quand on active le mode Sport, on sent la différence. La direction devient plus directe, le moteur plus nerveux, et les systèmes de contrôle de la stabilité et d’antipatinage embarqués beaucoup plus discrets, pour qu’on puisse s’amuser un peu sur la route sans se faire harceler. Ah oui, et le rendement de la batterie passe de 500 à 650 volts, donc la Lexus a un peu plus d’entrain aussi.
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| Pour ce premier hybride compact de luxe, Lexus a fait un point d’honneur de créer un habitacle aussi invitant que possible… (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |
Et je peux fièrement vous annoncer que ce petit bolide a passé l’épreuve du Costco. En effet, j’ai réussi à y enfourner un congélateur vertical de 5 pi3 (emballé), malgré un volume de coffre de 14,3 pi3 ou 405 litres, dû à la position de la batterie. Impressionnant, laissez-moi vous dire.
Suave et contemporaine, la console centrale présente un levier de vitesses qui ressemble à une pioche d’alpiniste, mais qu’on doit apprivoiser, avec son retour abrupt et son mode « B » (pour accélérer la recharge de la batterie sur les descentes raides et en freinage intense) ainsi qu’une chaîne audio qui semble avoir changé de place avec le climatiseur. L’emplacement de la radio n’aurait pas causé de problèmes si les boutons pour le volume et la sélection des pistes avaient été un peu plus gros. Je me sentais comme une géante qui essayait tant bien que mal de changer de poste. J’ai dû faire preuve d’une précision exemplaire.
Mais le plus cool, c’est sans doute la molette de sélection des modes de conduite. Ainsi, on peut choisir de conduire en mode Eco, Normal, Sport ou EV (entièrement électrique). Bref, ce petit bouton astucieux nous permet de commander majestueusement le 4-cylindres de 1,8 litre ainsi que la batterie à hydrure métallique de nickel.
En mode Eco, la voiture se fait raffinée et posée, maintenant le régime le plus économique aussi souvent que possible et passant au mode électrique quand il le peut (à faible vitesse, à l’arrêt). Le tableau de bord affiche un beau petit indicateur Charge/Eco/Puissance qui nous permet de surveiller l’influence de notre pied droit sur l’efficacité de la CT 200h. Donnez un petit coup de poignet, et vous voilà complètement à l’autre bout de l’échelle, en mode Sport; le tableau prend alors une teinte rougeâtre, et votre indicateur devient un tachymètre.
Et voici la première lueur de révélation au volant de cette Lexus : quand on active le mode Sport, on sent la différence. La direction devient plus directe, le moteur plus nerveux, et les systèmes de contrôle de la stabilité et d’antipatinage embarqués beaucoup plus discrets, pour qu’on puisse s’amuser un peu sur la route sans se faire harceler. Ah oui, et le rendement de la batterie passe de 500 à 650 volts, donc la Lexus a un peu plus d’entrain aussi.
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| Le tableau de bord affiche un beau petit indicateur Charge/Eco/Puissance qui nous permet de surveiller l’influence de notre pied droit sur l’efficacité de la CT 200h. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |