Derrière le volant, le conducteur sera stupéfait par le confort royal que procure le siège. Moelleux et bien dessiné, il épouse bien les formes du corps humain, en omettant toutefois d'offrir un bon support latéral. Il propose en revanche des multiples ajustements à commandes assistées, qui aideront le conducteur à trouver une position de conduite optimale. En ce sens, on retrouve également un pédalier à réglage électrique offert en option, une mémoire de positionnement du siège du conducteur et un volant inclinable, qui n'est malheureusement pas télescopique.
Comme sa cousine vendue chez Toyota, l'ES 330 est à la fois spacieuse et confortable. À l'avant comme à l'arrière, les occupants apprécieront l'espace accordé aux jambes et aux bras, ainsi que le confort amplifié par présence d'accoudoirs à toutes les positions. La garde au toit est cependant limitée sur les modèles équipés d'un toit ouvrant, pouvant ainsi gêner ceux qui contrairement à moi, ont pris un pied en six mois, à l'âge de treize ans.
La planche de bord, à la fois esthétique et classique, brille également par son côté ergonomique, sans reproche. Les commandes et les divers boutons sont tous parfaitement positionnés pour faciliter leur utilisation. Comme il se doit, la voiture est livrée avec un équipement relevé, qui peut néanmoins être augmenté d'un cran, en sélectionnant l'un des quatre groupes d'options. Avec ceux-ci, vous pourrez notamment obtenir une chaîne audio Mark Levinson de haute qualité, un système de navigation, un système de reconnaissance vocale, un toit ouvrant, des phares au xénon et un capteur de pluie.
Groupe motopropulseur
Offert dans plusieurs produits Toyota et Lexus, le moteur V6 de 3,3 litres qui prend place sous le capot de l'ES 330 est davantage souple et discret que performant. Développant 225 chevaux, il permet à cette berline d'obtenir un bon rendement, sans toutefois être en mesure de se comparer aux moteurs les plus en verve des concurrentes vendues chez Nissan et Acura. Qu'importe, l'acheteur d'une Lexus ES 330 ne possède pas exactement le profil de celui qui se passionne pour les courses d'accélération. Il désire plutôt conduire sa voiture en toute quiétude et pouvoir bénéficier d'un peu de puissance, lorsque vient le temps de doubler un autre véhicule. À ce niveau, cette berline est donc une parfaite candidate.
Dans le but premier d'offrir un confort royal à ses occupants, la Lexus ES 330 possède une boîte automatique à 5 rapports extrêmement bien adaptée, dont le passage des vitesses se fait dans l'anonymat le plus total. Cela affecte cependant les reprises, puisqu'elle réagit lentement aux commandes du conducteur, désirant soudainement plus de puissance.
Comportement routier et éléments mécaniques
Même si cette Lexus donne l'exemple en matière de confort et de silence de roulement, il n'en demeure pas moins que la conduire à tous les jours est d'un ennui mortel. D'accord, la suspension feutrée et l'insonorisation poussée procurent un confort et une douceur de roulement qui se retrouvent normalement dans des voitures plus huppées, mais du côté de l'agrément de conduite, on a déjà vu mieux. Chaussée de pneus de 16 ou 17 pouces selon le cas, la voiture offre une excellente tenue de cap, grandement attribuable à son coefficient de traînée de seulement 0,28. En virage, la suspension mollassonne fait rapidement connaître ses limites. La voiture présente un roulis particulièrement prononcé, et décroche facilement si on négocie une courbe de façon trop téméraire. Aussi, il faut savoir que le système antipatinage et le contrôle de stabilité électronique font partie de la longue liste d'options offertes, ce qui à mon avis inacceptable sur une voiture dont le prix de base est de 39 900 $. La direction comme la suspension est également antisportive, parce que surassistée et trop peu communicative pour transmettre une quelconque sensation de la route au conducteur. En ce qui concerne le freinage, disons simplement qu'il convient à toutes les situations, en présentant une puissance adéquate et un système antiblocage efficace.
Comme sa cousine vendue chez Toyota, l'ES 330 est à la fois spacieuse et confortable. À l'avant comme à l'arrière, les occupants apprécieront l'espace accordé aux jambes et aux bras, ainsi que le confort amplifié par présence d'accoudoirs à toutes les positions. La garde au toit est cependant limitée sur les modèles équipés d'un toit ouvrant, pouvant ainsi gêner ceux qui contrairement à moi, ont pris un pied en six mois, à l'âge de treize ans.
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Groupe motopropulseur
Offert dans plusieurs produits Toyota et Lexus, le moteur V6 de 3,3 litres qui prend place sous le capot de l'ES 330 est davantage souple et discret que performant. Développant 225 chevaux, il permet à cette berline d'obtenir un bon rendement, sans toutefois être en mesure de se comparer aux moteurs les plus en verve des concurrentes vendues chez Nissan et Acura. Qu'importe, l'acheteur d'une Lexus ES 330 ne possède pas exactement le profil de celui qui se passionne pour les courses d'accélération. Il désire plutôt conduire sa voiture en toute quiétude et pouvoir bénéficier d'un peu de puissance, lorsque vient le temps de doubler un autre véhicule. À ce niveau, cette berline est donc une parfaite candidate.
Dans le but premier d'offrir un confort royal à ses occupants, la Lexus ES 330 possède une boîte automatique à 5 rapports extrêmement bien adaptée, dont le passage des vitesses se fait dans l'anonymat le plus total. Cela affecte cependant les reprises, puisqu'elle réagit lentement aux commandes du conducteur, désirant soudainement plus de puissance.
Comportement routier et éléments mécaniques
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| Lexus ES 330 2005 |