5e position : Honda Pilot Touring 2011 – 75,0 %
C'est un fait que Honda vend d'excellents produits. Au fil des décennies, le constructeur nippon nous a proposé des petites voitures remarquables, spécialement la Civic. Or, dans le cas du Pilot, Honda n'a pas encore tout à fait trouvé la formule idéale.
Le design extérieur ne laisse vraiment pas indifférent. Mélange entre guerrier, banlieusard et ouvrier moderne, le Pilot ne sait pas du tout comment s'enligner. Malheureusement, ceci affecte toutes nos impressions par la suite. À l'intérieur, ce qui devrait être un décor plaisant se voit éclipsé par un trop-plein de boutons et de commandes sur le bloc central. Évidemment, on en vient à s'y habituer, mais au début, l'effet est un peu déroutant.
Honda se rachète en proposant de merveilleuses solutions de rangement à travers la cabine. Voilà en fait la grande force du Pilot. Tout au long de la journée, nous avons souvent entendu des commentaires du genre : « Je l'achèterais juste pour le rangement ». En contrepartie, les occupants pourraient bénéficier d'un meilleur traitement. Alors que les portières s'ouvrent largement et que les places de deuxième rangée n'ont pas d'égal dans ce groupe d’utilitaires, la banquette de troisième rangée se révèle courte et basse, rendant les déplacements pénibles pour des adultes. Le volume de chargement total (2464 litres) excède celui des Pathfinder et Explorer, mais il demeure inférieur à celui du CX-9.
Au niveau de la conduite, nous avons très peu à redire. Nos résultats d'évaluation nous ont amenés à la conclusion que le Pilot est conçu d'abord et avant tout dans un souci d'efficacité et d'économie d'essence. Il atteint 100 km/h plus lentement mais brûle aussi moins d'or noir que les autres. N'allez pas croire à une absence d'agrément de conduite pour autant. Au contraire, ce Japonais possède un solide V6 de 3,5 litres jumelé à une boîte automatique à cinq rapports et sa maniabilité précise s'explique notamment par un court rayon de braquage (plus court que tous les autres).
Bref, le Pilot agit comme un vrai Honda sur la route, ce qui est une bonne chose. La vaste surface vitrée, la bonne position de conduite et l'excellente visibilité en font définitivement un véhicule confortable à piloter.
C'est un fait que Honda vend d'excellents produits. Au fil des décennies, le constructeur nippon nous a proposé des petites voitures remarquables, spécialement la Civic. Or, dans le cas du Pilot, Honda n'a pas encore tout à fait trouvé la formule idéale.
Le design extérieur ne laisse vraiment pas indifférent. Mélange entre guerrier, banlieusard et ouvrier moderne, le Pilot ne sait pas du tout comment s'enligner. Malheureusement, ceci affecte toutes nos impressions par la suite. À l'intérieur, ce qui devrait être un décor plaisant se voit éclipsé par un trop-plein de boutons et de commandes sur le bloc central. Évidemment, on en vient à s'y habituer, mais au début, l'effet est un peu déroutant.
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| Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com |
Honda se rachète en proposant de merveilleuses solutions de rangement à travers la cabine. Voilà en fait la grande force du Pilot. Tout au long de la journée, nous avons souvent entendu des commentaires du genre : « Je l'achèterais juste pour le rangement ». En contrepartie, les occupants pourraient bénéficier d'un meilleur traitement. Alors que les portières s'ouvrent largement et que les places de deuxième rangée n'ont pas d'égal dans ce groupe d’utilitaires, la banquette de troisième rangée se révèle courte et basse, rendant les déplacements pénibles pour des adultes. Le volume de chargement total (2464 litres) excède celui des Pathfinder et Explorer, mais il demeure inférieur à celui du CX-9.
Au niveau de la conduite, nous avons très peu à redire. Nos résultats d'évaluation nous ont amenés à la conclusion que le Pilot est conçu d'abord et avant tout dans un souci d'efficacité et d'économie d'essence. Il atteint 100 km/h plus lentement mais brûle aussi moins d'or noir que les autres. N'allez pas croire à une absence d'agrément de conduite pour autant. Au contraire, ce Japonais possède un solide V6 de 3,5 litres jumelé à une boîte automatique à cinq rapports et sa maniabilité précise s'explique notamment par un court rayon de braquage (plus court que tous les autres).
Bref, le Pilot agit comme un vrai Honda sur la route, ce qui est une bonne chose. La vaste surface vitrée, la bonne position de conduite et l'excellente visibilité en font définitivement un véhicule confortable à piloter.
| ESPACE CARGO | ESPACE CARGO | CAPACITÉ DE | |
| MINIMUM | MAXIMUM | REMORQUAGE | |
| LITRES | LITRES | KG / LB | |
| Dodge Durango Crew Plus 2011 | 490 | 2390 | 2812/6200 |
| Ford Explorer XLT V6 4RM 2011 | 595 | 2285 | 2268/5000 |
| GMC Acadia Denali 2011 | 683 | 3297 | 2359/5200 |
| Honda Pilot Touring 2011 | 589 | 2464 | 2045/4508 |
| Mazda CX-9 GT 2011 | 487 | 2851 | 1588/3500 |
| Nissan Pathfinder LE 2011 | 467 | 2249 | 2722/6000 |
| Toyota Highlander 4RM V6 Sport 2011 | 292 | 2701 | 2268/5000 |