La taille compacte du moteur rotatif lui permet d’être installé derrière l’essieu avant, ce qui aide à atteindre un équilibre de poids 50/50. Le temps de réponse est instantané, direct et étonnamment lourd et précis, malgré la taille de la Mazda RX-7 1993.
Je ne me suis pas décidé à conduire ce classique de façon agressive, mais son impatience et son agilité peuvent être ressenties dès que l’on effleure le volant.
L’habitacle amplifie l’impression de cockpit présente dans les voitures sport japonaises des années 90. L’intérieur est étroit et bien ajusté et on y trouve peu de rangement. Par contre, le tachymètre, bien en évidence au centre du tableau de bord et qui peut atteindre 8 000 tours/minutes, et la console centrale orientée vers le conducteur, créent un espace personnel qui permet de pleinement apprécier la performance du bolide.
Pratique? Vraiment pas. Mais je ne me rappelle pas m’être autant senti dans un cockpit.
Sans se laisser distraire par les gadgets modernes ou les dispositifs de sécurité, les ingénieurs de la Mazda RX-7 pouvaient se concentrer uniquement sur l’expérience de conduite. À l’époque, c’était énorme.
Aujourd’hui, deux décennies plus tard, la Mazda RX-7 fait encore tomber les mâchoires de gens qui ont la moitié de son âge; elle fait également tomber la mâchoire de gens qui, comme moi, avaient une affiche de cette voiture dans leur chambre quand ils étaient petits.
Je ne me suis pas décidé à conduire ce classique de façon agressive, mais son impatience et son agilité peuvent être ressenties dès que l’on effleure le volant.
L’habitacle amplifie l’impression de cockpit présente dans les voitures sport japonaises des années 90. L’intérieur est étroit et bien ajusté et on y trouve peu de rangement. Par contre, le tachymètre, bien en évidence au centre du tableau de bord et qui peut atteindre 8 000 tours/minutes, et la console centrale orientée vers le conducteur, créent un espace personnel qui permet de pleinement apprécier la performance du bolide.
L’habitacle amplifie l’impression de cockpit présente dans les voitures sport japonaises des années 90. (Photo: Justin Pritchard) |
Pratique? Vraiment pas. Mais je ne me rappelle pas m’être autant senti dans un cockpit.
Sans se laisser distraire par les gadgets modernes ou les dispositifs de sécurité, les ingénieurs de la Mazda RX-7 pouvaient se concentrer uniquement sur l’expérience de conduite. À l’époque, c’était énorme.
Aujourd’hui, deux décennies plus tard, la Mazda RX-7 fait encore tomber les mâchoires de gens qui ont la moitié de son âge; elle fait également tomber la mâchoire de gens qui, comme moi, avaient une affiche de cette voiture dans leur chambre quand ils étaient petits.