Les sièges en cuir ordinaires sont bien beaux et confortables, mais ils n’ont rien à voir avec les énormes Recaro. L’autre grande distinction réside dans la position même des sièges. Les sièges « ordinaires » sont hauts dans l’habitacle, créant une position de conduite trop élevée. À défaut d’une colonne de direction télescopique, le conducteur a l’impression de conduire un CX-7 et non une sportive rasant le sol. La R3 ne souffre pas d’un tel complexe.
L’habitacle de la RX-8 est étonnamment spacieux pour chacun des quatre passagers, et le coffre profite d’une bonne grosseur, même si son ouverture s’avère un peu étroite. À bord, remarquez tous les clins d’œil à la motorisation rotative.
Petit corps, grand cœur
Le moteur 13B à deux rotors de 1,3 litre de la RX-8 révèle une petite merveille sur plusieurs plans. D’abord, le plan sonore. Du moment où l’on allume le moteur, le son du démarreur est hors pair. Imaginez un malaxeur coupleux qui se réveille subitement. Une fois au ralenti, les rotors tournent à 1 000 tours bien réguliers, émettant une note métallique incomparable. Et le crescendo commence vers les 7 000 tours pour atteindre son apogée à 9 000 tours.
Les 232 ch du 13B, quant à eux, reflètent un modèle de civilité. Malgré leur coup de sabot bien léger, on ressent bien leur présence. À moins de profiter d’un turbocompresseur, ce moteur bat sa cadence de la façon la plus linéaire que vous ne verrez peut-être jamais. En effet, l’expérience entière se veut tellement fade qu’on dirait que la voiture n’est simplement pas rapide… alors qu’en réalité, on file bien au-delà des limites permises. La poussée et la sonorité font du moteur rotatif une merveille. Cependant, sa soif insatiable cause un autre genre d’émerveillement: il engloutit près de 14 litres aux 100 kilomètres! Ouch!
Outil de conduite
Mais encore, la RX-8 est une merveille (dites-moi si je radote) sur le plan de la conduite. La calibration de cette voiture procure tellement d’avantages que je la recommanderais à toux ceux qui veulent apprendre en quoi consiste la conduite agressive.
 |
| L’habitacle de la RX-8 est étonnamment spacieux pour chacun des quatre passagers. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
L’habitacle de la RX-8 est étonnamment spacieux pour chacun des quatre passagers, et le coffre profite d’une bonne grosseur, même si son ouverture s’avère un peu étroite. À bord, remarquez tous les clins d’œil à la motorisation rotative.
Petit corps, grand cœur
Le moteur 13B à deux rotors de 1,3 litre de la RX-8 révèle une petite merveille sur plusieurs plans. D’abord, le plan sonore. Du moment où l’on allume le moteur, le son du démarreur est hors pair. Imaginez un malaxeur coupleux qui se réveille subitement. Une fois au ralenti, les rotors tournent à 1 000 tours bien réguliers, émettant une note métallique incomparable. Et le crescendo commence vers les 7 000 tours pour atteindre son apogée à 9 000 tours.
Les 232 ch du 13B, quant à eux, reflètent un modèle de civilité. Malgré leur coup de sabot bien léger, on ressent bien leur présence. À moins de profiter d’un turbocompresseur, ce moteur bat sa cadence de la façon la plus linéaire que vous ne verrez peut-être jamais. En effet, l’expérience entière se veut tellement fade qu’on dirait que la voiture n’est simplement pas rapide… alors qu’en réalité, on file bien au-delà des limites permises. La poussée et la sonorité font du moteur rotatif une merveille. Cependant, sa soif insatiable cause un autre genre d’émerveillement: il engloutit près de 14 litres aux 100 kilomètres! Ouch!
Outil de conduite
Mais encore, la RX-8 est une merveille (dites-moi si je radote) sur le plan de la conduite. La calibration de cette voiture procure tellement d’avantages que je la recommanderais à toux ceux qui veulent apprendre en quoi consiste la conduite agressive.
 |
| Les 232 ch du moteur 13B, quant à eux, reflètent un modèle de civilité. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |