Vaste mais sans excès
L'espace intérieur est suffisant pour les passagers avant, mais la partie supérieure est plus limitée pour la tête. Le pilier B représente également un léger handicap, car il limite la visibilité des trois quarts arrière et augmente d'autant l'angle mort. Par contre, le coffre est, quant à lui, vaste et d'accès facile grâce à son seuil bas et à la largeur de l'ouverture. Les sièges sont tout aussi compétents. Ils sont confortables, faciles à régler et offrent un excellent maintien.
Quand on prend place à bord, on remarque tout de suite la position de conduite et l'ADN sportif de la voiture. La suspension va dans le même sens avec sa fermeté orientée vers la conduite plus agressive.
Papy a de la veine !
En termes de performances, le plaisir est à l'honneur, et la mécanique performante soutient l'agrément. Peu importe la motorisation choisie, elle est clairement orientée vers une vocation sportive. De plus, la puissance du moteur V6 d'essai à 212 chevaux est suffisante.
La boîte de vitesses va dans le même sens car elle est directe et rétrograde avec une précision de neurochirurgien. Le gros bémol va au prix, associé habituellement au plaisir de conduire et, par conséquent, à toutes les Mazda. La consommation de carburant est supérieure à ce que la concurrence propose.
Fidèle à la réputation de la marque en matière de berline, la 6 est toute dans la conduite. La direction est précise et sans reproche, ce qui vous permet de placer la voiture dans la trajectoire à volonté.
Une belle vieillesse
La Mazda 6 est une voiture qui a bien vieilli avec ses petits défauts, certes, mais les qualités prennent facilement le pas sur tout le reste. Il y a bien son intérieur qui commence à être problématique, mais comme la relève de la 6 sera offerte sous peu, on peut lui pardonner bien des défauts sous sa mouture actuelle.
La motorisation est légèrement sous la moyenne de ce que la concurrence offre, mais considérant la taille plus réduite, les performances demeurent dignes d'une Mazda. Malgré ses six ans bien sonnés, j'apprécie toujours autant cette berline intermédiaire qui a longtemps été l'une des références dans la catégorie. Son caractère sportif lui confère une personnalité propre, et sa polyvalence en fait un choix réfléchi. Cette année marque donc le dernier tour de roue de l'actuelle 6, mais, comme un bon vin, elle a bien vieilli. On a tout de même hâte à la prochaine cuvée.
photo:Mazda
L'espace intérieur est suffisant pour les passagers avant, mais la partie supérieure est plus limitée pour la tête. Le pilier B représente également un léger handicap, car il limite la visibilité des trois quarts arrière et augmente d'autant l'angle mort. Par contre, le coffre est, quant à lui, vaste et d'accès facile grâce à son seuil bas et à la largeur de l'ouverture. Les sièges sont tout aussi compétents. Ils sont confortables, faciles à régler et offrent un excellent maintien.
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| La puissance du moteur V6 d'essai à 212 chevaux est suffisante. |
Quand on prend place à bord, on remarque tout de suite la position de conduite et l'ADN sportif de la voiture. La suspension va dans le même sens avec sa fermeté orientée vers la conduite plus agressive.
Papy a de la veine !
En termes de performances, le plaisir est à l'honneur, et la mécanique performante soutient l'agrément. Peu importe la motorisation choisie, elle est clairement orientée vers une vocation sportive. De plus, la puissance du moteur V6 d'essai à 212 chevaux est suffisante.
La boîte de vitesses va dans le même sens car elle est directe et rétrograde avec une précision de neurochirurgien. Le gros bémol va au prix, associé habituellement au plaisir de conduire et, par conséquent, à toutes les Mazda. La consommation de carburant est supérieure à ce que la concurrence propose.
Fidèle à la réputation de la marque en matière de berline, la 6 est toute dans la conduite. La direction est précise et sans reproche, ce qui vous permet de placer la voiture dans la trajectoire à volonté.
Une belle vieillesse
La Mazda 6 est une voiture qui a bien vieilli avec ses petits défauts, certes, mais les qualités prennent facilement le pas sur tout le reste. Il y a bien son intérieur qui commence à être problématique, mais comme la relève de la 6 sera offerte sous peu, on peut lui pardonner bien des défauts sous sa mouture actuelle.
La motorisation est légèrement sous la moyenne de ce que la concurrence offre, mais considérant la taille plus réduite, les performances demeurent dignes d'une Mazda. Malgré ses six ans bien sonnés, j'apprécie toujours autant cette berline intermédiaire qui a longtemps été l'une des références dans la catégorie. Son caractère sportif lui confère une personnalité propre, et sa polyvalence en fait un choix réfléchi. Cette année marque donc le dernier tour de roue de l'actuelle 6, mais, comme un bon vin, elle a bien vieilli. On a tout de même hâte à la prochaine cuvée.
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| Son caractère sportif lui confère une personnalité propre, et sa polyvalence en fait un choix réfléchi. |
photo:Mazda
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