Une fois la capote rabattue, la voiture expose plusieurs autres accessoires signés AMG. Les sièges sport AMG, qui comportent 10 réglages électriques, un support lombaire ajustable et la mémoire de position, procurent un support merveilleux autant pour les balades sur l'autoroute que les courses folles sur les routes de campagne. Le riche cuir Nappa qui recouvre les sièges enveloppe aussi joliment le volant sport AMG aux nouvelles manettes de commande manuelle.
Autres exclusivités AMG: le tableau d'instruments accentué d'aluminium et le chronomètre de course.
Certes, les puristes se demandent où est passée la boîte manuelle, mais la transmission semi-automatique 7G-TRONIC à sept rapports, améliorée par AMG, est parfaitement adaptée à la personnalité «main de fer dans un gant de velours» de la CLK 63 AMG.
Les changements de rapport supérieurs s'effectuent à la vitesse de l'éclair, le conducteur ayant tout juste le temps de prendre son souffle. Malheureusement, à la différence de certaines autres boîtes semi-automatiques, la 7G-TRONIC ne trouve pas le régime optimal en rétrogradant, même lorsqu'on se sert des manettes au volant.
Sillonner les canyons
Le chronomètre dans la CLK 63 AMG permet de calculer la vitesse moyenne et maximale, la longueur d'un circuit et le tour le plus rapide, mais il s'avère superflu pour une boucle de 16 kilomètres autour du rocambolesque Chino Canyon, au nord de Palm Springs.
La suspension AMG s'est montrée aussi souple et confortable sur l'autoroute que ferme et agile sur les chemins sinueux longeant le canyon. Les pneus Pirelli P Zero 225/40 R18 (avant) et 255/35 R18 (arrière) mordent bien la chaussée malgré les 1850 kilos de la voiture.
Toutefois, l'extrême sportivité de la conduite de la CLK 63 AMG est trahie par une direction lente dans les virages et très peu communicative avec le pilote.
De la puissance, encore et encore
Le moteur AMG confère non seulement une puissance accrue à cette CLK par rapport aux versions inférieures, mais aussi un tempérament bouillant digne d'un train à vapeur. Sa nature décapotable ne fait que rehausser le charme de conduire une Mercedes dans le désert paradisiaque de la Californie.
 |
| Une voiture signée AMG et un décor de palmiers; voilà la recette du bonheur. |
Autres exclusivités AMG: le tableau d'instruments accentué d'aluminium et le chronomètre de course.
Certes, les puristes se demandent où est passée la boîte manuelle, mais la transmission semi-automatique 7G-TRONIC à sept rapports, améliorée par AMG, est parfaitement adaptée à la personnalité «main de fer dans un gant de velours» de la CLK 63 AMG.
Les changements de rapport supérieurs s'effectuent à la vitesse de l'éclair, le conducteur ayant tout juste le temps de prendre son souffle. Malheureusement, à la différence de certaines autres boîtes semi-automatiques, la 7G-TRONIC ne trouve pas le régime optimal en rétrogradant, même lorsqu'on se sert des manettes au volant.
Sillonner les canyons
Le chronomètre dans la CLK 63 AMG permet de calculer la vitesse moyenne et maximale, la longueur d'un circuit et le tour le plus rapide, mais il s'avère superflu pour une boucle de 16 kilomètres autour du rocambolesque Chino Canyon, au nord de Palm Springs.
La suspension AMG s'est montrée aussi souple et confortable sur l'autoroute que ferme et agile sur les chemins sinueux longeant le canyon. Les pneus Pirelli P Zero 225/40 R18 (avant) et 255/35 R18 (arrière) mordent bien la chaussée malgré les 1850 kilos de la voiture.
Toutefois, l'extrême sportivité de la conduite de la CLK 63 AMG est trahie par une direction lente dans les virages et très peu communicative avec le pilote.
De la puissance, encore et encore
Le moteur AMG confère non seulement une puissance accrue à cette CLK par rapport aux versions inférieures, mais aussi un tempérament bouillant digne d'un train à vapeur. Sa nature décapotable ne fait que rehausser le charme de conduire une Mercedes dans le désert paradisiaque de la Californie.
 |
| Sur la route, la direction de la CLK 63 AMG trahit sa motorisation et sa suspension héroïques. |