Ce qui m’inquiétait un peu, avant que je ne m’y habitue, c’est la tendance qu’a la S400 de reculer quand on s’immobilise sur une pente. Il faut en effet enfoncer fermement la pédale jusqu’à ce que la voiture commence à se tenir immobile.
Quelques excentricités, beaucoup de bonheur
Malgré plusieurs bizarreries propres aux véhicules hybrides, la S400 est un pur délice à plusieurs égards, l’aura de relaxation apaisante que dégage l’habitacle étant l’une d’elles. Le sublime confort et la tranquillité de l’habitacle nous baignent dans une mer de bien-être, alors que le reste du monde semble s’empresser autour de nous en état perpétuel d’agitation.
Il y a deux, non trois, aspects de la S400 dont je pourrais faire l’éloge dans un article entier sans même réussir à leur rendre justice. D’abord, la divine conduite assurée par la suspension pneumatique sophistiquée de la S400. En effet, j’ai rarement eu le plaisir d’une expérience si coulée.
Ensuite, il y a les sièges absolument sublimes. Les places avant de mon modèle d’essai étaient à la fois chauffées et ventilées. Elles se faisaient également un plaisir de caresser et masser le dos des heureux élus qui avaient l’honneur de s’y asseoir. Et peu importe votre taille, la S400 se montre obligeante grâce à son long empattement.
Enfin, il y a la chaîne harmon/kardon LOGIC7 qui transforme l’habitacle quasi silencieux en véritable salle de concert : aucun discophile ne pourrait espérer mieux. Mélangez ces trois ingrédients, et vous obtenez une expérience de conduite exquise que la technologie hybride infuse d’un soupçon de vert qui rehausse l’effet de prestige et atténue le sentiment de culpabilité qui vient avec la surconsommation.
Quelques excentricités, beaucoup de bonheur
Malgré plusieurs bizarreries propres aux véhicules hybrides, la S400 est un pur délice à plusieurs égards, l’aura de relaxation apaisante que dégage l’habitacle étant l’une d’elles. Le sublime confort et la tranquillité de l’habitacle nous baignent dans une mer de bien-être, alors que le reste du monde semble s’empresser autour de nous en état perpétuel d’agitation.
Les places avant de mon modèle d’essai étaient à la fois chauffées et ventilées. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Il y a deux, non trois, aspects de la S400 dont je pourrais faire l’éloge dans un article entier sans même réussir à leur rendre justice. D’abord, la divine conduite assurée par la suspension pneumatique sophistiquée de la S400. En effet, j’ai rarement eu le plaisir d’une expérience si coulée.
Ensuite, il y a les sièges absolument sublimes. Les places avant de mon modèle d’essai étaient à la fois chauffées et ventilées. Elles se faisaient également un plaisir de caresser et masser le dos des heureux élus qui avaient l’honneur de s’y asseoir. Et peu importe votre taille, la S400 se montre obligeante grâce à son long empattement.
Enfin, il y a la chaîne harmon/kardon LOGIC7 qui transforme l’habitacle quasi silencieux en véritable salle de concert : aucun discophile ne pourrait espérer mieux. Mélangez ces trois ingrédients, et vous obtenez une expérience de conduite exquise que la technologie hybride infuse d’un soupçon de vert qui rehausse l’effet de prestige et atténue le sentiment de culpabilité qui vient avec la surconsommation.