Un problème courant, mais peu concluant, surtout sur les premiers modèles, concernait la boîte de vitesses. Assurez-vous de noter l’état de l’embrayage, et oubliez le candidat dont la boîte glisse, grince ou produit des bruits anormaux lorsqu’elle change les rapports. Plusieurs propriétaires de 350Z moins récentes font état de changements de rapport difficiles ou accompagnés d’un « grincement métallique », un signe avant-coureur de la défaillance de la boîte manuelle.
Le V6 de série VQ semble assez fiable au fil des ans, mais notez le niveau et l’état de l’huile et du liquide de refroidissement lors d’un essai routier. Ceux-ci reflètent souvent l’attention que le propriétaire a portée à son véhicule. Vérifiez également si le moteur, la boîte de vitesses ou le différentiel fuit.
Vu qu’il s’agit d’une voiture haute performance, vérifiez l’état des freins et des pneus en prenant note de toute usure irrégulière des surfaces intérieures et extérieures des pneus qui pourrait indiquer un problème de géométrie des roues.
Par ailleurs, la 350Z s’est déclinée en version décapotable pendant plusieurs années. Outre le toit souple motorisé, elle est identique au coupé en matière de mécanique. Si vous faites l’essai d’une Z décapotable, assurez-vous que le toit fonctionne et inspectez-le soigneusement, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, afin de déceler toute déchirure ou tout signe d’usure. Notez aussi s’il y de la moisissure, ce qui pourrait indiquer une fuite. Si le toit en tissu ne comporte ne serait-ce que la moindre trace de ruban adhésif, regardez ailleurs.
Enfin, évitez toute 350Z largement modifiée. Beaucoup d’entre elles présenteront des systèmes d’admission et d’échappement peaufinés relativement sécuritaires dont on n’a pas trop besoin de s’inquiéter. Cependant, à moins que vous soyez un expert en mécanique et en personnalisation, il serait probablement sage d’éviter tout modèle d’occasion faisant appel à un turbocompresseur, à un compresseur ou au protoxyde d’azote. Mal installé, chacun de ces systèmes peut transformer les entrailles de votre moteur en soupe métallique avec ou sans avertissement.
En présence de toute modification, c’est une bonne idée d’enquêter sur la qualité des pièces et de leur installation.
N’oubliez pas, si vous n’êtes pas certain de l’une ou l’autre des composantes de votre éventuelle future Z d’occasion, chassez vos soucis en la faisant inspecter ou conduire par un mécanicien Nissan. Votre concessionnaire Nissan du coin pourra vous aider à découvrir si certains avis de rappel n’ont pas été respectés.
Optez pour une 350Z, et vous vous retrouverez avec un bolide emballant, énergique et reconnaissable qui vous durera des années. Assurez-vous simplement d’en choisir une dont on a l’historique complet d’entretien et qui est le plus près possible de la version d’usine.
photo:Nissan
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| Nissan 350Z 2007 |
Le V6 de série VQ semble assez fiable au fil des ans, mais notez le niveau et l’état de l’huile et du liquide de refroidissement lors d’un essai routier. Ceux-ci reflètent souvent l’attention que le propriétaire a portée à son véhicule. Vérifiez également si le moteur, la boîte de vitesses ou le différentiel fuit.
Vu qu’il s’agit d’une voiture haute performance, vérifiez l’état des freins et des pneus en prenant note de toute usure irrégulière des surfaces intérieures et extérieures des pneus qui pourrait indiquer un problème de géométrie des roues.
Par ailleurs, la 350Z s’est déclinée en version décapotable pendant plusieurs années. Outre le toit souple motorisé, elle est identique au coupé en matière de mécanique. Si vous faites l’essai d’une Z décapotable, assurez-vous que le toit fonctionne et inspectez-le soigneusement, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, afin de déceler toute déchirure ou tout signe d’usure. Notez aussi s’il y de la moisissure, ce qui pourrait indiquer une fuite. Si le toit en tissu ne comporte ne serait-ce que la moindre trace de ruban adhésif, regardez ailleurs.
Enfin, évitez toute 350Z largement modifiée. Beaucoup d’entre elles présenteront des systèmes d’admission et d’échappement peaufinés relativement sécuritaires dont on n’a pas trop besoin de s’inquiéter. Cependant, à moins que vous soyez un expert en mécanique et en personnalisation, il serait probablement sage d’éviter tout modèle d’occasion faisant appel à un turbocompresseur, à un compresseur ou au protoxyde d’azote. Mal installé, chacun de ces systèmes peut transformer les entrailles de votre moteur en soupe métallique avec ou sans avertissement.
En présence de toute modification, c’est une bonne idée d’enquêter sur la qualité des pièces et de leur installation.
N’oubliez pas, si vous n’êtes pas certain de l’une ou l’autre des composantes de votre éventuelle future Z d’occasion, chassez vos soucis en la faisant inspecter ou conduire par un mécanicien Nissan. Votre concessionnaire Nissan du coin pourra vous aider à découvrir si certains avis de rappel n’ont pas été respectés.
Optez pour une 350Z, et vous vous retrouverez avec un bolide emballant, énergique et reconnaissable qui vous durera des années. Assurez-vous simplement d’en choisir une dont on a l’historique complet d’entretien et qui est le plus près possible de la version d’usine.
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| Nissan 350Z 2007 |
photo:Nissan
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