Astucieuse transmission
Les changements de rapport s’effectuent à l’aide d’une pédale d’embrayage fluide et convaincante ainsi que d’un levier de vitesses courtaud et solide. L’action n’est pas aussi précise et raffinée que celle qui caractérise la Mazda RX-8 ou la Honda S2000, par exemple, mais le plaisir d’enchaîner les six rapports de la boîte manuelle est indéniable et enivrant.
Activez la fonction Synchro Rev Match et le jeu devient encore plus passionnant. Par une analyse en temps réel de la position du levier et de l’embrayage, elle engendre une impulsion de l’accélérateur au moment de la rétrogradation pour assurer une parfaite correspondance du régime entre la transmission et le moteur. En prime, les effets sonores qui en découlent sont dignes d’un bolide de course. Ne parlez pas de la technologie Synchro Rev Match à vos passagers et ils croiront que vous avez suivi un cours intensif de talon-pointe donné par nul autre que Michael Schumacher.
C’est franchement divertissant, croyez-moi. Pour les puristes, la bonne vieille méthode fonctionne très bien aussi!
Taillée pour la piste
Alliant un moteur racé à de larges pneus, à de redoutables freins et à une direction aussi rapide que communicative, la 370Z 2010 s’en donne à cœur joie sur la route et encore davantage sur un circuit.
La sensation de pousser la voiture à l’extrême électrise et récompense en même temps. Elle obéit au doigt et à l’œil, valsant au rythme effréné que la suspension ferme permet habilement de suivre. Parlant d’extrême, les limites de performance de la Z sont exceptionnellement élevées, si bien qu’on ne peut flirter avec elles que sur une piste fermée, là où l’on ne risque pas de perdre son permis de conduire.
Le revers de la médaille
Bien sûr, malgré toute la performance offerte, il y a quelques inconvénients. Du nombre, mentionnons l’habitacle très restreint, la piètre visibilité arrière, le rangement limité et le roulement dur en général. L’espace est compté et le bruit des pneus contre la chaussée finit par agacer.
Ceux qui déplorent le côté peu pratique de la 370Z se consoleront avec la superbe finition et le décor excitant, marqué par un jeu de couleurs contrastantes et des matériaux dignes de figurer dans une Infiniti G37 (ou presque). Personnellement, son cockpit s’avère beaucoup plus stimulant à regarder que celui d’un bolide allemand comparable.
Ce dernier, par surcroît, coûte habituellement bien plus cher que les quelque 50 000 $ demandés pour la Nissan 370Z 40e Anniversaire. Tout compte fait, en considérant le style, la performance, le divertissement et le rapport qualité/prix, la nouvelle Z se veut pratiquement une aubaine.
Les changements de rapport s’effectuent à l’aide d’une pédale d’embrayage fluide et convaincante ainsi que d’un levier de vitesses courtaud et solide. L’action n’est pas aussi précise et raffinée que celle qui caractérise la Mazda RX-8 ou la Honda S2000, par exemple, mais le plaisir d’enchaîner les six rapports de la boîte manuelle est indéniable et enivrant.
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| Alliant un moteur racé à de larges pneus, à de redoutables freins et à une direction aussi rapide que communicative, la 370Z 2010 s’en donne à cœur joie. (Photo: Justin Pritchard)/Auto123.com) |
Activez la fonction Synchro Rev Match et le jeu devient encore plus passionnant. Par une analyse en temps réel de la position du levier et de l’embrayage, elle engendre une impulsion de l’accélérateur au moment de la rétrogradation pour assurer une parfaite correspondance du régime entre la transmission et le moteur. En prime, les effets sonores qui en découlent sont dignes d’un bolide de course. Ne parlez pas de la technologie Synchro Rev Match à vos passagers et ils croiront que vous avez suivi un cours intensif de talon-pointe donné par nul autre que Michael Schumacher.
C’est franchement divertissant, croyez-moi. Pour les puristes, la bonne vieille méthode fonctionne très bien aussi!
Taillée pour la piste
Alliant un moteur racé à de larges pneus, à de redoutables freins et à une direction aussi rapide que communicative, la 370Z 2010 s’en donne à cœur joie sur la route et encore davantage sur un circuit.
La sensation de pousser la voiture à l’extrême électrise et récompense en même temps. Elle obéit au doigt et à l’œil, valsant au rythme effréné que la suspension ferme permet habilement de suivre. Parlant d’extrême, les limites de performance de la Z sont exceptionnellement élevées, si bien qu’on ne peut flirter avec elles que sur une piste fermée, là où l’on ne risque pas de perdre son permis de conduire.
Le revers de la médaille
Bien sûr, malgré toute la performance offerte, il y a quelques inconvénients. Du nombre, mentionnons l’habitacle très restreint, la piètre visibilité arrière, le rangement limité et le roulement dur en général. L’espace est compté et le bruit des pneus contre la chaussée finit par agacer.
Ceux qui déplorent le côté peu pratique de la 370Z se consoleront avec la superbe finition et le décor excitant, marqué par un jeu de couleurs contrastantes et des matériaux dignes de figurer dans une Infiniti G37 (ou presque). Personnellement, son cockpit s’avère beaucoup plus stimulant à regarder que celui d’un bolide allemand comparable.
Ce dernier, par surcroît, coûte habituellement bien plus cher que les quelque 50 000 $ demandés pour la Nissan 370Z 40e Anniversaire. Tout compte fait, en considérant le style, la performance, le divertissement et le rapport qualité/prix, la nouvelle Z se veut pratiquement une aubaine.
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| La Nissan Z se veut plus forte, plus légère, plus ferme, plus intelligente et plus agile que jamais à 40 ans. (Photo: Justin Pritchard)/Auto123.com) |
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