Mais à 1 750 kilos (3 860 livres), la GT-R n'est pas un poids plume; elle est tellement bardée de gadgets électroniques et de composants mécaniques que le total de 480 chevaux est probablement une sous-estimation.
L'expérience de conduite est plutôt distincte. Décollez lentement glaces abaissées et radio éteinte, et vous entendrez des bruits métalliques provenant de la boîte de vitesses qui effectue les changements de rapports. On constate la même chose quand on ralentit pour s'immobiliser.
La consommation de carburant, pour une voiture sport de 480 chevaux, est en réalité plutôt raisonnable. Ceux qui conduisent comme ma grand-mère observent une moyenne de 12,5 litres aux 100 kilomètres, tandis que ceux qui catapultent la GT-R à chaque feu de circulation font grimper la moyenne à environ 17 litres aux 100 kilomètres.
Châssis de voiture sport
Ouvrez le capot et vous remarquerez quelque chose de particulier : les tours des amortisseurs ne sont pas droites, mais à un angle prononcé, ce qui nous fait croire que la GT-R a été conçue pour le drifting, un sport né au Japon qui consiste à faire glisser une voiture latéralement et mériter des points pour le style.
Dynamiquement, la voiture répond instantanément à la moindre sollicitation du conducteur. Par contre, même quand on choisit le mode confort, le roulement ferme de la voiture devient irritant après quelques minutes de conduite urbaine. Sur la route, c'est mieux. Pour une voiture de tous les jours, c'est un sacrifice que quelques collègues et moi-même ne ferions pas si nous nous procurerions une voiture sport à gros budget dans nos rêves les plus fous, bien sûr.
Cabine imparfaite
Voici l'endroit où l'on se rend compte comment Nissan a pu créer un tel monstre et la vendre 90 000 $. Le tableau de bord et les panneaux de porte sont assemblés dans des matériaux d'une qualité acceptable, mais qui présentent une apparence bon marché par rapport à, disons, ce qu'on retrouve dans une Porsche 911.
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| La voiture la plus sensationnelle jamais issue du Pays du Soleil Levant. |
L'expérience de conduite est plutôt distincte. Décollez lentement glaces abaissées et radio éteinte, et vous entendrez des bruits métalliques provenant de la boîte de vitesses qui effectue les changements de rapports. On constate la même chose quand on ralentit pour s'immobiliser.
La consommation de carburant, pour une voiture sport de 480 chevaux, est en réalité plutôt raisonnable. Ceux qui conduisent comme ma grand-mère observent une moyenne de 12,5 litres aux 100 kilomètres, tandis que ceux qui catapultent la GT-R à chaque feu de circulation font grimper la moyenne à environ 17 litres aux 100 kilomètres.
Châssis de voiture sport
Ouvrez le capot et vous remarquerez quelque chose de particulier : les tours des amortisseurs ne sont pas droites, mais à un angle prononcé, ce qui nous fait croire que la GT-R a été conçue pour le drifting, un sport né au Japon qui consiste à faire glisser une voiture latéralement et mériter des points pour le style.
Dynamiquement, la voiture répond instantanément à la moindre sollicitation du conducteur. Par contre, même quand on choisit le mode confort, le roulement ferme de la voiture devient irritant après quelques minutes de conduite urbaine. Sur la route, c'est mieux. Pour une voiture de tous les jours, c'est un sacrifice que quelques collègues et moi-même ne ferions pas si nous nous procurerions une voiture sport à gros budget dans nos rêves les plus fous, bien sûr.
Cabine imparfaite
Voici l'endroit où l'on se rend compte comment Nissan a pu créer un tel monstre et la vendre 90 000 $. Le tableau de bord et les panneaux de porte sont assemblés dans des matériaux d'une qualité acceptable, mais qui présentent une apparence bon marché par rapport à, disons, ce qu'on retrouve dans une Porsche 911.
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| Le tableau de bord et les panneaux de porte sont assemblés dans des matériaux d'une qualité acceptable. |