Mécanique
Pour toute la durée de cette génération, la Maxima offrait un seul moteur mais non le moindre. Il s'agit du VQ30DE, un V6 de 3,0 litres acclamé mondialement et qui développe 190 chevaux et 205 lb-pi de couple. Le choix de transmissions consistait en une manuelle à cinq vitesses (GXE et SE) et une automatique à quatre vitesses en option. Cette dernière était la seule disponible avec la version GLE (haut de gamme). Le freinage était assuré par des disques aux quatre roues, alors que la suspension, qui était entièrement indépendante entre 1989 et 1994, est passée à indépendante à l'avant et semi-indépendante à l'arrière à partir de 1995.
Sur la route
La Maxima est une berline qui colle à la route. Même si la suspension arrière repose sur un essieu rigide à barre de torsion, l'adhérence dans les transitions latérales est ferme et le roulis de caisse est toujours contrôlé. La voiture est stable à haute vitesse, ce qui la rend très agréable à conduire sur l'autoroute. Le roulement est à la fois apaisant et enivrant.
Le V6 a beaucoup de classe. Il manque un peu de mordant à bas régime, mais dès qu'il approche 4000 tr/min, la voiture est entraînée avec autorité. La transmission automatique enchaîne les rapports avec vigueur, bien qu'elle rétrograde avec une certaine hésitation. Engagée dans le bon rapport, la Maxima permet des dépassements très rapides. En outre,
elle peut accélérer de 0 à 100 km/h en un peu moins de huit secondes.
Les freins performent admirablement, tandis que la direction est étonnamment bonne et rassurante. Avec des attributs de conduite aussi peaufinés, il ne faut pas se surprendre de voir tout l'intérêt que suscite encore aujourd'hui cette voiture dans le monde du tuning.
Sécurité
La Maxima possède de série deux coussins gonflables avant (et latéraux à partir de 1998 en version SE et GLE), des freins à antiblocage (sauf pour la GXE de base), un dispositif antipatinage (1999) et des ceintures à prétendeurs. La National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA, l'agence américaine de sécurité dans les transports) a donné aux modèles de 1995 à 1997 une cote de 4 étoiles sur 5 (bon) pour le conducteur et de 3 étoiles sur 5 (moyen) pour le passager au terme des essais de collision frontale. À partir de 1998, la cote pour le passager
s'est accrue à 4 sur 5. L'Insurance Institute for Highway Safety (IIHS, l'institut d'assurance pour la sécurité dans les transports) a qualifié les modèles 1995-1996 de «faibles» et ceux de 1997 à 1999 de «moyens»par rapport à la catégorie.
Conclusion
Ce qui me fascine le plus chez cette Maxima, c'est sa modernité; elle donne l'impression d'être encore actuelle en 2006. S'il était possible de trouver un modèle 1995 flambant neuf et de l'opposer à des berlines américaines et japonaises de l'année 2006, je crois qu'elle s'en tirerait très bien.
Pour toute la durée de cette génération, la Maxima offrait un seul moteur mais non le moindre. Il s'agit du VQ30DE, un V6 de 3,0 litres acclamé mondialement et qui développe 190 chevaux et 205 lb-pi de couple. Le choix de transmissions consistait en une manuelle à cinq vitesses (GXE et SE) et une automatique à quatre vitesses en option. Cette dernière était la seule disponible avec la version GLE (haut de gamme). Le freinage était assuré par des disques aux quatre roues, alors que la suspension, qui était entièrement indépendante entre 1989 et 1994, est passée à indépendante à l'avant et semi-indépendante à l'arrière à partir de 1995.
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Sur la route
La Maxima est une berline qui colle à la route. Même si la suspension arrière repose sur un essieu rigide à barre de torsion, l'adhérence dans les transitions latérales est ferme et le roulis de caisse est toujours contrôlé. La voiture est stable à haute vitesse, ce qui la rend très agréable à conduire sur l'autoroute. Le roulement est à la fois apaisant et enivrant.
Le V6 a beaucoup de classe. Il manque un peu de mordant à bas régime, mais dès qu'il approche 4000 tr/min, la voiture est entraînée avec autorité. La transmission automatique enchaîne les rapports avec vigueur, bien qu'elle rétrograde avec une certaine hésitation. Engagée dans le bon rapport, la Maxima permet des dépassements très rapides. En outre,
elle peut accélérer de 0 à 100 km/h en un peu moins de huit secondes. Les freins performent admirablement, tandis que la direction est étonnamment bonne et rassurante. Avec des attributs de conduite aussi peaufinés, il ne faut pas se surprendre de voir tout l'intérêt que suscite encore aujourd'hui cette voiture dans le monde du tuning.
Sécurité
La Maxima possède de série deux coussins gonflables avant (et latéraux à partir de 1998 en version SE et GLE), des freins à antiblocage (sauf pour la GXE de base), un dispositif antipatinage (1999) et des ceintures à prétendeurs. La National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA, l'agence américaine de sécurité dans les transports) a donné aux modèles de 1995 à 1997 une cote de 4 étoiles sur 5 (bon) pour le conducteur et de 3 étoiles sur 5 (moyen) pour le passager au terme des essais de collision frontale. À partir de 1998, la cote pour le passager
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| Photo: Nissan Canada |
Conclusion
Ce qui me fascine le plus chez cette Maxima, c'est sa modernité; elle donne l'impression d'être encore actuelle en 2006. S'il était possible de trouver un modèle 1995 flambant neuf et de l'opposer à des berlines américaines et japonaises de l'année 2006, je crois qu'elle s'en tirerait très bien.