Bien qu'il ait l'air d'un croisement entre une Volkswagen Beetle et un camion à vidanges, l'éphémère Pontiac Aztek est un véhicule qui a conquis un public varié et connu d'excellents taux de satisfaction de la clientèle. Autant les familles fort occupées que les jeunes couples au style de vie actif ont adopté l'Aztek pour sa principale qualité: une extrême polyvalence.
Il y avait à l'époque -- et encore plus aujourd'hui -- un nombre considérable de VUS dits «multisegments» sur le marché. Cependant, très peu ont fait autant jaser à cause de leur style, et ce, quelle que soit la raison.
Mais au-delà du look, l'Aztek avait beaucoup à offrir. Un système antipatinage était disponible, tout comme le service d'assistance OnStar, un affichage «tête haute» (projection des données sur le pare-brise), des roues de 16 pouces et même des sièges en cuir chauffants, dépendamment de la version choisie. L'habitacle se démarquait par une foule d'espaces de rangement astucieux et même des compartiments réfrigérés et amovibles. Les aventuriers pouvaient de plus faire installer chez leur concessionnaire un revêtement de sièges lavable ou encore une tente à arrimer sur le véhicule.
Comme on peut le voir, l'Aztek était un compagnon de voyage idéal pour les personnes menant une vie très active. Ajoutons qu'un système de traction intégrale (appelé VersaTrak, dans le jargon de Pontiac) était offert en option non pas pour s'aventurer profondément dans les sentiers mais bien pour affronter avec confiance les rigueurs de l'hiver.
Le problème, c'est que l'Aztek, en dépit de toutes ses qualités, était condamné à ne servir qu'une clientèle limitée. En effet, malgré sa sécurité, sa polyvalence et son équipement généreux, il fallait des consommateurs très spéciaux, voire courageux, pour acheter un Aztek et accepter d'être vus au volant de celui-ci. Beaucoup de gens ont préféré se procurer un Honda CR-V ou une Chrysler PT Cruiser. Certains, plus nantis, ont opté pour la version plus luxueuse -- et moins radicale -- de l'Aztek, le Buick Rendezvous.
Si toutefois vous êtes vraiment intéressé à mettre la main sur un Aztek d'occasion, sachez que ce dernier est semblable à une mini-fourgonnette... sans portes coulissantes, bien entendu. D'ailleurs, l'Aztek a beaucoup de composantes communes à la Pontiac Montana, dont le V6 de 3,4 litres et la transmission automatique. Mais si une mini-fourgonnette est conçue pour se fondre dans la masse et ne pas attirer l'attention, l'Aztek vise plutôt à provoquer et à susciter la controverse.
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Il y avait à l'époque -- et encore plus aujourd'hui -- un nombre considérable de VUS dits «multisegments» sur le marché. Cependant, très peu ont fait autant jaser à cause de leur style, et ce, quelle que soit la raison.
Mais au-delà du look, l'Aztek avait beaucoup à offrir. Un système antipatinage était disponible, tout comme le service d'assistance OnStar, un affichage «tête haute» (projection des données sur le pare-brise), des roues de 16 pouces et même des sièges en cuir chauffants, dépendamment de la version choisie. L'habitacle se démarquait par une foule d'espaces de rangement astucieux et même des compartiments réfrigérés et amovibles. Les aventuriers pouvaient de plus faire installer chez leur concessionnaire un revêtement de sièges lavable ou encore une tente à arrimer sur le véhicule.
Comme on peut le voir, l'Aztek était un compagnon de voyage idéal pour les personnes menant une vie très active. Ajoutons qu'un système de traction intégrale (appelé VersaTrak, dans le jargon de Pontiac) était offert en option non pas pour s'aventurer profondément dans les sentiers mais bien pour affronter avec confiance les rigueurs de l'hiver.
Le problème, c'est que l'Aztek, en dépit de toutes ses qualités, était condamné à ne servir qu'une clientèle limitée. En effet, malgré sa sécurité, sa polyvalence et son équipement généreux, il fallait des consommateurs très spéciaux, voire courageux, pour acheter un Aztek et accepter d'être vus au volant de celui-ci. Beaucoup de gens ont préféré se procurer un Honda CR-V ou une Chrysler PT Cruiser. Certains, plus nantis, ont opté pour la version plus luxueuse -- et moins radicale -- de l'Aztek, le Buick Rendezvous.
Si toutefois vous êtes vraiment intéressé à mettre la main sur un Aztek d'occasion, sachez que ce dernier est semblable à une mini-fourgonnette... sans portes coulissantes, bien entendu. D'ailleurs, l'Aztek a beaucoup de composantes communes à la Pontiac Montana, dont le V6 de 3,4 litres et la transmission automatique. Mais si une mini-fourgonnette est conçue pour se fondre dans la masse et ne pas attirer l'attention, l'Aztek vise plutôt à provoquer et à susciter la controverse.
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