Malheureusement, la Pontiac G8 est passée comme un coup de vent au Canada, des « pousseux de crayon » ayant mis la hache dans le modèle GM et envoyé la marque Pontiac au rencart.
Pour les amateurs de performances, la G8 exerçait un attrait presque aussi irrésistible qu’une Firebird 4-portes. L’idée derrière cette machine était simple : l’acheteur pouvait arriver chez son concessionnaire Pontiac avec 36 495 $ et partir avec une berline flambant neuve farcie d’un V8 de 6,0 litres et 361 ch entraînant les roues arrière. Ah oui, et la garantie de 160 000 km sur le groupe motopropulseur, assortie de coussins gonflables, achevait de convaincre Madame aussi.
Évidemment, le V6 de 3,6 litres et 256 ch plus modeste offert de série comblait le conducteur soucieux de conserver son permis. Les modèles V8 étaient baptisés « G8 GT », si ça vous intéresse, et toutes les versions avaient hérité d’une boîte manuelle.
Vous y trouverez un ordinateur de bord, une chaîne audio Blaupunkt, un toit vitré, des sièges en cuir, un climatiseur automatique à 2 zones et tous les accessoires électriques standard. On pouvait également faire installer un dispositif de démarrage à distance.
Selon les propriétaires, la G8 a retenu leur attention avec sa promesse de performances majestueuses, son style agressif et son prix abordable. La majorité apprécie l’espace pour 4 à 5 adultes, la dynamique de conduite agréable et les performances plus que satisfaisantes du V6. De plus, comme c’est souvent le cas avec les V8 de GM, on signale en général une consommation étonnamment faible. Le mot « bête » revient souvent quand les propriétaires de G8 GT décrivent leur expérience sur les forums en ligne.
Les plaintes s’articulent surtout autour des garnitures intérieures bon marché, de certaines commandes mal placées et frustrantes et de sièges avant qui s’inclinent mal.
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| Pontiac G8 2008 (Photo: General Motors) |
Pour les amateurs de performances, la G8 exerçait un attrait presque aussi irrésistible qu’une Firebird 4-portes. L’idée derrière cette machine était simple : l’acheteur pouvait arriver chez son concessionnaire Pontiac avec 36 495 $ et partir avec une berline flambant neuve farcie d’un V8 de 6,0 litres et 361 ch entraînant les roues arrière. Ah oui, et la garantie de 160 000 km sur le groupe motopropulseur, assortie de coussins gonflables, achevait de convaincre Madame aussi.
Évidemment, le V6 de 3,6 litres et 256 ch plus modeste offert de série comblait le conducteur soucieux de conserver son permis. Les modèles V8 étaient baptisés « G8 GT », si ça vous intéresse, et toutes les versions avaient hérité d’une boîte manuelle.
Vous y trouverez un ordinateur de bord, une chaîne audio Blaupunkt, un toit vitré, des sièges en cuir, un climatiseur automatique à 2 zones et tous les accessoires électriques standard. On pouvait également faire installer un dispositif de démarrage à distance.
Selon les propriétaires, la G8 a retenu leur attention avec sa promesse de performances majestueuses, son style agressif et son prix abordable. La majorité apprécie l’espace pour 4 à 5 adultes, la dynamique de conduite agréable et les performances plus que satisfaisantes du V6. De plus, comme c’est souvent le cas avec les V8 de GM, on signale en général une consommation étonnamment faible. Le mot « bête » revient souvent quand les propriétaires de G8 GT décrivent leur expérience sur les forums en ligne.
Les plaintes s’articulent surtout autour des garnitures intérieures bon marché, de certaines commandes mal placées et frustrantes et de sièges avant qui s’inclinent mal.
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| Pontiac G8 2009 (Photo: General Motors) |