Si ça ne marche pas le premier coup, on se reprend!
Ah, les mariages! Celui entre Daimler et Chrysler n'a pas duré très longtemps, se terminant par un divorce qui a lourdement éprouvé la seconde. Maintenant, Daimler veut tenter le coup une fois de plus. Son nouveau partenaire : le conglomérat franco-nippon formé de Renault et Nissan.
Comme vous le savez peut-être, les Français ne disent jamais «non», mais dans ce cas-ci, il est clair que l'union avantagera les deux parties compte tenu de leurs solides bases respectives.
En effet, la coopération stratégique qu'elles viennent d'annoncer leur permettra de soutirer rapidement des bénéfices d'une série de projets concrets et d'un échange d'expertise. Renault-Nissan obtiendra aussi une part de 3,1% dans Daimler, tandis que Daimler recevra une part de 3,1% dans Renault et de 3,1% dans Nissan.
Le développement de nouveaux produits impose toujours un lourd fardeau financier, alors pourquoi ne pas se partager les coûts? L'entente prévoit des économies d'échelle du côté des petites voitures, des modèles de luxe et des véhicules commerciaux. Des moteurs à essence, diesels, hybrides et électriques feront aussi partie d'un échange.
En espérant qu'ils vivent heureux et aient beaucoup d'enfants...
Ah, les mariages! Celui entre Daimler et Chrysler n'a pas duré très longtemps, se terminant par un divorce qui a lourdement éprouvé la seconde. Maintenant, Daimler veut tenter le coup une fois de plus. Son nouveau partenaire : le conglomérat franco-nippon formé de Renault et Nissan.
Comme vous le savez peut-être, les Français ne disent jamais «non», mais dans ce cas-ci, il est clair que l'union avantagera les deux parties compte tenu de leurs solides bases respectives.
En effet, la coopération stratégique qu'elles viennent d'annoncer leur permettra de soutirer rapidement des bénéfices d'une série de projets concrets et d'un échange d'expertise. Renault-Nissan obtiendra aussi une part de 3,1% dans Daimler, tandis que Daimler recevra une part de 3,1% dans Renault et de 3,1% dans Nissan.
Le développement de nouveaux produits impose toujours un lourd fardeau financier, alors pourquoi ne pas se partager les coûts? L'entente prévoit des économies d'échelle du côté des petites voitures, des modèles de luxe et des véhicules commerciaux. Des moteurs à essence, diesels, hybrides et électriques feront aussi partie d'un échange.
En espérant qu'ils vivent heureux et aient beaucoup d'enfants...