Audi A8
Comment améliorer ce qui, de l'avis de plusieurs, frise déjà la perfection ? Avouons-le, ce n'est pas une mince tâche, surtout dans un segment sur lequel les feux de la rampe sont aussi intensément braqués. Parlez-en au Québécois Dany Garand, qui s'est vu confier la tâche de redessiner le joyau de la gamme Audi. Cela étant, en plus de la nécessité de faire mieux, il est un autre écueil avec lequel cette seconde génération a dû composer : éviter d'être un clone de la nouvelle Phaeton, s'en différencier suffisamment de sorte que les ventes d'Ingolstadt ne soient pas cannibalisées par celles de la sensation de Wolfsburg. Solution? Affirmer la sportivité qui caractérise bon nombre de modèles Audi depuis deux décennies. Pour ce faire, l'utilisation de l'aluminium (trains roulants, châssis, carrosserie) a été une fois de plus privilégiée afin de mettre au point un ensemble qui laisse entrevoir des qualités dynamiques certaines.
Poids plume, l'A8 l'est très certainement en regard de ses concurrentes, au premier chef la Phaeton (2 319 kg). Malgré ses 5 mètres de longueur et la présence d'un rouage intégral Quattro, elle ne pèse que 1 780 kg, ce qui constitue un exploit qui, on l'espère, fera réfléchir les ingénieurs_ de Détroit. En attendant la venue d'une nouvelle version haute performance, baptisée S8, les amateurs auront droit en Amérique du Nord à des versions munies d'une vieille connaissance : un V8 atmosphérique de 4,2 litres et 330 chevaux. Fait inédit chez Audi, il sera jumelé à une boîte automatique ZF permettant de passer les six rapports au moyen de leviers près du volant. Tout comme la Phaeton, l'A8 campe sur des suspensions pneumatiques qui permettent au véhicule de s'adapter à la route et au type de conduite de son propriétaire. Bienvenue à l'ère de la voiture " intelligente ".
Comment améliorer ce qui, de l'avis de plusieurs, frise déjà la perfection ? Avouons-le, ce n'est pas une mince tâche, surtout dans un segment sur lequel les feux de la rampe sont aussi intensément braqués. Parlez-en au Québécois Dany Garand, qui s'est vu confier la tâche de redessiner le joyau de la gamme Audi. Cela étant, en plus de la nécessité de faire mieux, il est un autre écueil avec lequel cette seconde génération a dû composer : éviter d'être un clone de la nouvelle Phaeton, s'en différencier suffisamment de sorte que les ventes d'Ingolstadt ne soient pas cannibalisées par celles de la sensation de Wolfsburg. Solution? Affirmer la sportivité qui caractérise bon nombre de modèles Audi depuis deux décennies. Pour ce faire, l'utilisation de l'aluminium (trains roulants, châssis, carrosserie) a été une fois de plus privilégiée afin de mettre au point un ensemble qui laisse entrevoir des qualités dynamiques certaines.Poids plume, l'A8 l'est très certainement en regard de ses concurrentes, au premier chef la Phaeton (2 319 kg). Malgré ses 5 mètres de longueur et la présence d'un rouage intégral Quattro, elle ne pèse que 1 780 kg, ce qui constitue un exploit qui, on l'espère, fera réfléchir les ingénieurs_ de Détroit. En attendant la venue d'une nouvelle version haute performance, baptisée S8, les amateurs auront droit en Amérique du Nord à des versions munies d'une vieille connaissance : un V8 atmosphérique de 4,2 litres et 330 chevaux. Fait inédit chez Audi, il sera jumelé à une boîte automatique ZF permettant de passer les six rapports au moyen de leviers près du volant. Tout comme la Phaeton, l'A8 campe sur des suspensions pneumatiques qui permettent au véhicule de s'adapter à la route et au type de conduite de son propriétaire. Bienvenue à l'ère de la voiture " intelligente ".