Mais encore, c'est un autre écueil, aussi important celui-là, qui les avaient empêchées d'arriver à leurs fins l'année dernière. Il s'agit de cette complicité essentielle, qui doit exister entre les deux équipières. « L'an dernier, chacune de nous avions des partenaires qui n'étaient pas vraiment intéressées et qui ne faisaient pas les efforts nécessaires, ce qui n'a rien donné », explique la Québécoise. « Puis, nous nous sommes rencontrées, via Internet, un peu par hasard. » Mais quel hasard! Le duo déborde de dynamisme et projette une image cohérente, où chacune apporte une contribution complémentaire. Ça pète le feu!
Événement sportif « responsable »
Le Trophée Roses des Sables aura lieu du 7 au 18 octobre 2010. Les inscriptions pour cette 10e édition sont d'ailleurs closes depuis septembre dernier. Selon les organisateurs, 130 équipages seraient inscrits, dont 45 qui proviennent du Québec.
Le Québec est visiblement important pour les organisateurs, si bien qu'ils ont nommé une porte-parole québécoise : la championne olympique Sylvie Fréchette. Heureuse coïncidence, puisqu'elle aussi prendra part à l'événement.
L'image de marque importe également beaucoup pour cette organisation dirigée par le pilote français Jean-Jacques Rey, un vétéran des rallyes d'endurance qui a vécu, entre autres, le Paris-Dakar, le Rallye des Pharaons et le Rallye de Tunisie.
On tente de donner à cette organisation une image « responsable » vis-à-vis de la société marocaine, par le biais de l'association Enfants du désert, qui doit acheminer les biens recueillis par les équipages.
À cette image sympathique s'ajoute l'image éco-citoyenne, incontournable à cette époque. Ainsi, l'organisation promet de compenser les émissions de CO2 engendrées par l'ensemble des véhicules utilisés pour l'épreuve. On parle aussi d'acheminer des capteurs solaires pour alimenter en électricité des communautés marocaines moins nanties. On promet aussi de laisser le désert propre, après le passage de la caravane. Car, on se souvient de toutes ces saletés qu'un événement comme le Dakar laisse derrière lui chaque année...
Et puisqu'il s'agit d'une épreuve de navigation, à priori, les organisateurs invitent les équipages à « rouler souple », c'est-à-dire à maintenir de basses vitesses tout au long de l'épreuve pour minimiser la consommation de carburant.
L'aventure se poursuit...
Entre-temps, les deux Isabelle poursuivent leurs démarches. Au programme : exercices de conduite hors-route avec un 4x4 chez Mécaglisse, à Notre-Dame-de-la-Merci, un incontournable pour la Longueuilloise, qui sera la pilote de l'équipage et pour qui ce genre de conduite est nouvelle. Ensemble, elles feront aussi l'apprentissage de la boussole, l'outil qui permettra à la Québécoise de jouer son rôle de copilote.
Événement sportif « responsable »
Le Trophée Roses des Sables aura lieu du 7 au 18 octobre 2010. Les inscriptions pour cette 10e édition sont d'ailleurs closes depuis septembre dernier. Selon les organisateurs, 130 équipages seraient inscrits, dont 45 qui proviennent du Québec.
Le Québec est visiblement important pour les organisateurs, si bien qu'ils ont nommé une porte-parole québécoise : la championne olympique Sylvie Fréchette. Heureuse coïncidence, puisqu'elle aussi prendra part à l'événement.
 |
| Pour le Salon de l'auto de Québec, le duo de l'équipe Beladenium exposait une Jeep. Mais c'est au volant d'une camionnette 4x4 compacte à quatre portes, une Toyota Hi-Lux ou une Isuzu D-Max louée à l'organisation, qu'elles disputeront le Trophée Roses des Sables. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
L'image de marque importe également beaucoup pour cette organisation dirigée par le pilote français Jean-Jacques Rey, un vétéran des rallyes d'endurance qui a vécu, entre autres, le Paris-Dakar, le Rallye des Pharaons et le Rallye de Tunisie.
On tente de donner à cette organisation une image « responsable » vis-à-vis de la société marocaine, par le biais de l'association Enfants du désert, qui doit acheminer les biens recueillis par les équipages.
À cette image sympathique s'ajoute l'image éco-citoyenne, incontournable à cette époque. Ainsi, l'organisation promet de compenser les émissions de CO2 engendrées par l'ensemble des véhicules utilisés pour l'épreuve. On parle aussi d'acheminer des capteurs solaires pour alimenter en électricité des communautés marocaines moins nanties. On promet aussi de laisser le désert propre, après le passage de la caravane. Car, on se souvient de toutes ces saletés qu'un événement comme le Dakar laisse derrière lui chaque année...
Et puisqu'il s'agit d'une épreuve de navigation, à priori, les organisateurs invitent les équipages à « rouler souple », c'est-à-dire à maintenir de basses vitesses tout au long de l'épreuve pour minimiser la consommation de carburant.
L'aventure se poursuit...
Entre-temps, les deux Isabelle poursuivent leurs démarches. Au programme : exercices de conduite hors-route avec un 4x4 chez Mécaglisse, à Notre-Dame-de-la-Merci, un incontournable pour la Longueuilloise, qui sera la pilote de l'équipage et pour qui ce genre de conduite est nouvelle. Ensemble, elles feront aussi l'apprentissage de la boussole, l'outil qui permettra à la Québécoise de jouer son rôle de copilote.