Brooklyn, New York — Nous sommes venus ici pour tester la nouvelle smart fortwo électrique en vue de son lancement nord-américain cet automne. En fait, il s’agit d’une nouvelle phase d’évaluation avant que la véritable production en série ne débute au printemps 2012.
À partir d’octobre, donc, quelque 295 exemplaires seront loués à un groupe sélect de clients nord-américains, soit 250 aux États-Unis et 45 au Canada.
L’électricité en toute simplicité
Si vous désirez obtenir de plus amples détails sur le programme d’essai nord-américain de la smart fortwo électrique, je vous invite à lire mon autre article. Pour l’instant, j’ai trop hâte de vous partager mon expérience de conduite dans les rues de Brooklyn.
Les voitures nous attendaient après notre départ du New Jersey en bateau-taxi. Plusieurs citoyens et touristes emploient ce moyen de transport et je vous recommande fortement de l’essayer; on jouit d’une vue magnifique sur le centre-ville de New York et la Statue de la Liberté. Évidemment, ce journaliste n’a pas raté l’occasion de prendre des photos. Trop, peut-être. Mais bon, venons-en au vif du sujet…
N’eut été de la carrosserie peinte en vert et blanc ainsi que de la mention «electric drive» en grosses lettres sur les côtés, il aurait été impossible de deviner que ces smart exploitent une motorisation électrique tellement leur design reste fidèle à celui du modèle régulier de deuxième génération. D’ailleurs, l’habitacle et le coffre sont aussi identiques.
Voyez-vous, les composantes de ladite motorisation électrique ont été planifiées dès le début du processus de développement. La batterie au lithium-ion fabriquée par Tesla se trouve sous le plancher, entre les essieux, tandis que le moteur électrique de 30 kilowatts est monté derrière, à l’endroit exact où le moteur à essence et la transmission reposent normalement. Le tableau de bord comporte deux cadrans spéciaux : le premier indique le niveau de charge de la batterie et le second affiche le taux de consommation.
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| Les voitures nous attendaient après notre départ du New Jersey en bateau-taxi. (Photo: Mike Goetz/Auto123.com) |
À partir d’octobre, donc, quelque 295 exemplaires seront loués à un groupe sélect de clients nord-américains, soit 250 aux États-Unis et 45 au Canada.
L’électricité en toute simplicité
Si vous désirez obtenir de plus amples détails sur le programme d’essai nord-américain de la smart fortwo électrique, je vous invite à lire mon autre article. Pour l’instant, j’ai trop hâte de vous partager mon expérience de conduite dans les rues de Brooklyn.
Les voitures nous attendaient après notre départ du New Jersey en bateau-taxi. Plusieurs citoyens et touristes emploient ce moyen de transport et je vous recommande fortement de l’essayer; on jouit d’une vue magnifique sur le centre-ville de New York et la Statue de la Liberté. Évidemment, ce journaliste n’a pas raté l’occasion de prendre des photos. Trop, peut-être. Mais bon, venons-en au vif du sujet…
N’eut été de la carrosserie peinte en vert et blanc ainsi que de la mention «electric drive» en grosses lettres sur les côtés, il aurait été impossible de deviner que ces smart exploitent une motorisation électrique tellement leur design reste fidèle à celui du modèle régulier de deuxième génération. D’ailleurs, l’habitacle et le coffre sont aussi identiques.
Voyez-vous, les composantes de ladite motorisation électrique ont été planifiées dès le début du processus de développement. La batterie au lithium-ion fabriquée par Tesla se trouve sous le plancher, entre les essieux, tandis que le moteur électrique de 30 kilowatts est monté derrière, à l’endroit exact où le moteur à essence et la transmission reposent normalement. Le tableau de bord comporte deux cadrans spéciaux : le premier indique le niveau de charge de la batterie et le second affiche le taux de consommation.
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| N’eut été de la mention «electric drive» en grosses lettres sur les côtés, il aurait été impossible de deviner que ces smart exploitent une motorisation électrique. (Photo: Mike Goetz/Auto123.com) |