Avec notre climat, des sièges chauffants apportent un net réconfort. Bonne nouvelle : Subaru les a inclus de série. En prime, ils accommodent une très grande variété de gabarits. Leurs appuis latéraux, autant sur les assises que les dossiers, se montrent discrets et peu dérangeants mais tout de même efficaces quand vient le temps de soutenir le corps dans les virages. Mon épouse s'est dite « tout à fait à l'aise » et m'a relégué au siège du passager pour le reste de notre sortie.
J'ai également fait un petit saut à l'arrière où, sans surprise, Subaru nous propose le même bon niveau de confort, l'assise de la banquette étant assez longue et haute pour ne pas avoir les genoux collés au thorax. Seuls les tibias et les pieds se trouvent à l'étroit. En fait, tout dépend de la générosité des occupants avant. L'espace en général ne devrait pas poser problème, mais lors de grandes aventures sur la route, un certain inconfort se fera sentir.
Groupe motopropulseur
L'unique moteur disponible avec le Subaru Forester 2011 s'avère un quatre-cylindres à plat de 2,5 litres. Normalement de type atmosphérique (il s'accompagne d'un turbocompresseur en version 2.5XT Limited), sa puissance atteint 170 chevaux, ce qui suffit pour s'acquitter rapidement de toute tâche quotidienne. Cela dit, ne vous attendez pas à des sprints explosifs ni à des pneus qui fument.
Les moteurs avec cylindres à plat favorisent un plus bas centre de gravité, ce qui rend la conduite plus facile. Or, si vous roulez à fond dans les courbes, vous verrez que la maniabilité est compromise par la mollesse de la suspension et le manque d'adhérence des pneus.
Comportement routier
En allant faire des emplettes, les ressorts et amortisseurs se montrent fermes sans devenir désagréables. Toutefois, l'empattement court assèche le roulement, si vous voyez ce que je veux dire, et une fois que le véhicule commence à déraper, il est difficile de regagner le contrôle. Entre en jeu l'excellent système de traction intégrale symétrique de Subaru, qui distribue le couple du moteur aux roues ayant le plus de motricité. De cette façon, le Forester ne donne pratiquement aucun indice lorsqu'il perd momentanément de la traction.
En dehors des routes asphaltées, ce VUS japonais se débrouille aussi bien dans les sentiers que sur les chemins de gravier. Avec la bonne technique, on peut surmonter sans problème des roches et des troncs de taille moyenne. D'ailleurs, la majorité des propriétaires n'auront même pas besoin et n'auront pas recours à tout l'éventail d'aptitudes du Forester. Voyez-le comme une élégante paire de chaussures orthopédiques. Contradictoire? Non. En tout cas, je ne connais personne qui voudrait se départir de l'un ou de l'autre.
Le Subaru Forester 2.5X groupe Commodité 2011 avec boîte automatique affiche un PDSF de 28 095 $.
J'ai également fait un petit saut à l'arrière où, sans surprise, Subaru nous propose le même bon niveau de confort, l'assise de la banquette étant assez longue et haute pour ne pas avoir les genoux collés au thorax. Seuls les tibias et les pieds se trouvent à l'étroit. En fait, tout dépend de la générosité des occupants avant. L'espace en général ne devrait pas poser problème, mais lors de grandes aventures sur la route, un certain inconfort se fera sentir.
Groupe motopropulseur
L'unique moteur disponible avec le Subaru Forester 2011 s'avère un quatre-cylindres à plat de 2,5 litres. Normalement de type atmosphérique (il s'accompagne d'un turbocompresseur en version 2.5XT Limited), sa puissance atteint 170 chevaux, ce qui suffit pour s'acquitter rapidement de toute tâche quotidienne. Cela dit, ne vous attendez pas à des sprints explosifs ni à des pneus qui fument.
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| L'unique moteur disponible avec le Subaru Forester 2011 s'avère un quatre-cylindres à plat de 2,5 litres. (Photo: Subaru) |
Les moteurs avec cylindres à plat favorisent un plus bas centre de gravité, ce qui rend la conduite plus facile. Or, si vous roulez à fond dans les courbes, vous verrez que la maniabilité est compromise par la mollesse de la suspension et le manque d'adhérence des pneus.
Comportement routier
En allant faire des emplettes, les ressorts et amortisseurs se montrent fermes sans devenir désagréables. Toutefois, l'empattement court assèche le roulement, si vous voyez ce que je veux dire, et une fois que le véhicule commence à déraper, il est difficile de regagner le contrôle. Entre en jeu l'excellent système de traction intégrale symétrique de Subaru, qui distribue le couple du moteur aux roues ayant le plus de motricité. De cette façon, le Forester ne donne pratiquement aucun indice lorsqu'il perd momentanément de la traction.
En dehors des routes asphaltées, ce VUS japonais se débrouille aussi bien dans les sentiers que sur les chemins de gravier. Avec la bonne technique, on peut surmonter sans problème des roches et des troncs de taille moyenne. D'ailleurs, la majorité des propriétaires n'auront même pas besoin et n'auront pas recours à tout l'éventail d'aptitudes du Forester. Voyez-le comme une élégante paire de chaussures orthopédiques. Contradictoire? Non. En tout cas, je ne connais personne qui voudrait se départir de l'un ou de l'autre.
Le Subaru Forester 2.5X groupe Commodité 2011 avec boîte automatique affiche un PDSF de 28 095 $.
Subaru Forester 2.5X Commodité 2011
Subaru Forester 2.5X Commodité 2011
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