La bonne nouvelle « Impreza »
Avant d'aller plus loin, j'ai envie de vous parler « prix ». Parce que c'est là que réside la bonne nouvelle « Impreza ». Avec un prix en baisse de 2 000 $ (version de base à 20 695 $), la compacte évolue désormais dans le « sweet spot » de son segment. Fidèle à la tradition, elle s'amène bien équipée avec, en prime, ces petits détails qu'on aime bien : rétroviseurs chauffants, roues de 16 pouces, climatisation et - enfin! - une banquette arrière qui se rabat presque à plat.
La vraie bonne affaire, c'est toutefois avec la variante Sport qu'on la dégote. À 23 195 $ (ajoutez 1 100 $ pour la boîte automatique), l'on obtient les jantes en aluminium, le contrôle dynamique et l'antipatinage, l'antirecul, les freins à disques aux quatre roues (eh oui, la version de base mise encore sur des tambours à l'arrière...), les phares antibrouillard, le dégivreur d'essuie-glaces, les commandes audio au volant et, oh bonheur, les sièges chauffants.
WRX : se fondre dans la masse?
Étrangement, alors que la WRX familiale s'offrait jusqu'à présent au même prix que la berline (35 495 $), la nouvelle WRX à 5 portes demande plus que sa consoeur : 33 895 $, contre 32 995 $ pour la 4-portes.
Qu'est-ce qu'on obtient pour cette somme? Un moteur turbo de 224 chevaux, une prise d'air dans le capot, des cadrans électroluminescents, des sièges sport, des roues de 17 pouces, la radio satellite (on vous laisse cependant payer l'abonnement), le volant télescopique et la climatisation automatique.
Une belle liste, certes, mais notez que peu d'éléments visuels viennent distinguer la WRX. Pas d'aileron monstre, pas de jantes agressives... même les déflecteurs, les jupes et les autres accessoires se font très discrets. C'est un peu comme si la WRX voulait se fondre dans la masse. Si son intention était de faire oublier ses connexions avec le monde du rallye, eh bien, elle a réussi.
Choses sérieuses
Et maintenant, quoi de neuf sous le capot? En fait, pas grand-chose. Le bon vieux moteur à 4 cylindres horizontalement opposés (2,5 L) est toujours de service et c'est bien tant mieux. Ce moteur boxer a toujours rendu de fiers services et il le fait encore, d'autant plus que son orifice d'admission a été redessiné, pour un meilleur couple à bas et à mi-régime.
Avant d'aller plus loin, j'ai envie de vous parler « prix ». Parce que c'est là que réside la bonne nouvelle « Impreza ». Avec un prix en baisse de 2 000 $ (version de base à 20 695 $), la compacte évolue désormais dans le « sweet spot » de son segment. Fidèle à la tradition, elle s'amène bien équipée avec, en prime, ces petits détails qu'on aime bien : rétroviseurs chauffants, roues de 16 pouces, climatisation et - enfin! - une banquette arrière qui se rabat presque à plat.
La vraie bonne affaire, c'est toutefois avec la variante Sport qu'on la dégote. À 23 195 $ (ajoutez 1 100 $ pour la boîte automatique), l'on obtient les jantes en aluminium, le contrôle dynamique et l'antipatinage, l'antirecul, les freins à disques aux quatre roues (eh oui, la version de base mise encore sur des tambours à l'arrière...), les phares antibrouillard, le dégivreur d'essuie-glaces, les commandes audio au volant et, oh bonheur, les sièges chauffants.
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| Elle n'offre pas l'agressivité de sa devancière. |
WRX : se fondre dans la masse?
Étrangement, alors que la WRX familiale s'offrait jusqu'à présent au même prix que la berline (35 495 $), la nouvelle WRX à 5 portes demande plus que sa consoeur : 33 895 $, contre 32 995 $ pour la 4-portes.
Qu'est-ce qu'on obtient pour cette somme? Un moteur turbo de 224 chevaux, une prise d'air dans le capot, des cadrans électroluminescents, des sièges sport, des roues de 17 pouces, la radio satellite (on vous laisse cependant payer l'abonnement), le volant télescopique et la climatisation automatique.
Une belle liste, certes, mais notez que peu d'éléments visuels viennent distinguer la WRX. Pas d'aileron monstre, pas de jantes agressives... même les déflecteurs, les jupes et les autres accessoires se font très discrets. C'est un peu comme si la WRX voulait se fondre dans la masse. Si son intention était de faire oublier ses connexions avec le monde du rallye, eh bien, elle a réussi.
Choses sérieuses
Et maintenant, quoi de neuf sous le capot? En fait, pas grand-chose. Le bon vieux moteur à 4 cylindres horizontalement opposés (2,5 L) est toujours de service et c'est bien tant mieux. Ce moteur boxer a toujours rendu de fiers services et il le fait encore, d'autant plus que son orifice d'admission a été redessiné, pour un meilleur couple à bas et à mi-régime.
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| C'est encore une fois le vénérable 4-cylindres de 2,5 litres qu'on retrouvera sous le capot. |