Habitacle
À l’intérieur, la Toyota Avalon 2011 se distingue avec une foule de petites améliorations. Le siège du passager avant comporte maintenant huit réglages électriques, tout comme celui du conducteur. J’ignore cependant pourquoi il ne descend pas aussi bas. Chaque fois que je m’assoyais dedans, ma tête heurtait presque le plafond.
Instrumentation
Les commandes et l’instrumentation sur le tableau de bord ont toutes été modernisées. Au centre, l’écran sert autant au système de navigation dernier cri qu’à la caméra de recul. Aussi au rendez-vous : la technologie Bluetooth, un port USB et une chaîne audio JBL à 12 haut-parleurs de 660 watts. Étrangement, je n’ai trouvé aucune prise pour brancher mon iPod.
Banquette arrière
Heureux ceux qui prendront place à l’arrière car, même lorsque les sièges avant sont reculés au maximum, le dégagement pour les jambes reste abondant et le confort, très appréciable. Lorsqu’une personne n’ayant pas la taille d’un joueur de la NBA s’assoit à l’avant, le dégagement disponible prend presque les proportions d’un plancher de danse. Ajoutez à cela des assises douillettes et des dossiers pouvant s’incliner vers l’arrière de 30 degrés et vous obtenez une banquette vraiment conviviale pour tous les âges dans une berline somme toute abordable -- une rareté.
Chargement
Au-delà des places assises se trouve un coffre, que dis-je, une caverne pouvant facilement engloutir les bagages d’un couple pour un voyage d’un mois ou encore l’attirail d’une jeune famille (incluant le parc du bébé) pour toute sortie à l’extérieur. Le seuil de chargement se veut d’une hauteur raisonnable et l’ouverture, suffisamment grande pour insérer tout ce qui n’est pas une table à café.
Groupe motopropulseur
Un seul moteur figure au menu de la Toyota Avalon 2011, en l’occurrence le V6 de 3,5 litres à 24 soupapes, double arbre à cames en tête et distribution variable qui développe 268 chevaux et 248 livres-pied de couple. Ce dernier chiffre peut sembler bas dans une certaine mesure, mais sachez que la majorité du couple se répand sur une vaste plage de régime, ce qui fait paraître le moteur plus puissant.
De même, une seule transmission accompagne la voiture, soit une automatique à six rapports. Le mode manuel de celle-ci fait plaisir, mais pas autant que l’électronique révisée qui permet, par exemple, de rétrograder directement de la sixième à la quatrième vitesse (au lieu de respecter la séquence 6-5-4), ce qui raccourcit les passages et favorise un rapport optimal en tout temps.
La Toyota Avalon 2011 s’adresse à une clientèle âgée de 35 à 55 ans. Avec cette voiture, la compagnie ne rate pas la cible, mais on sent qu’elle n’a pas visé tout à fait dans le mille non plus.
À l’intérieur, la Toyota Avalon 2011 se distingue avec une foule de petites améliorations. Le siège du passager avant comporte maintenant huit réglages électriques, tout comme celui du conducteur. J’ignore cependant pourquoi il ne descend pas aussi bas. Chaque fois que je m’assoyais dedans, ma tête heurtait presque le plafond.
Instrumentation
Les commandes et l’instrumentation sur le tableau de bord ont toutes été modernisées. Au centre, l’écran sert autant au système de navigation dernier cri qu’à la caméra de recul. Aussi au rendez-vous : la technologie Bluetooth, un port USB et une chaîne audio JBL à 12 haut-parleurs de 660 watts. Étrangement, je n’ai trouvé aucune prise pour brancher mon iPod.
Banquette arrière
Heureux ceux qui prendront place à l’arrière car, même lorsque les sièges avant sont reculés au maximum, le dégagement pour les jambes reste abondant et le confort, très appréciable. Lorsqu’une personne n’ayant pas la taille d’un joueur de la NBA s’assoit à l’avant, le dégagement disponible prend presque les proportions d’un plancher de danse. Ajoutez à cela des assises douillettes et des dossiers pouvant s’incliner vers l’arrière de 30 degrés et vous obtenez une banquette vraiment conviviale pour tous les âges dans une berline somme toute abordable -- une rareté.
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| Lorsque les sièges avant sont reculés au maximum, le dégagement pour les jambes reste abondant et le confort, très appréciable.(Photo: Toyota) |
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Au-delà des places assises se trouve un coffre, que dis-je, une caverne pouvant facilement engloutir les bagages d’un couple pour un voyage d’un mois ou encore l’attirail d’une jeune famille (incluant le parc du bébé) pour toute sortie à l’extérieur. Le seuil de chargement se veut d’une hauteur raisonnable et l’ouverture, suffisamment grande pour insérer tout ce qui n’est pas une table à café.
Groupe motopropulseur
Un seul moteur figure au menu de la Toyota Avalon 2011, en l’occurrence le V6 de 3,5 litres à 24 soupapes, double arbre à cames en tête et distribution variable qui développe 268 chevaux et 248 livres-pied de couple. Ce dernier chiffre peut sembler bas dans une certaine mesure, mais sachez que la majorité du couple se répand sur une vaste plage de régime, ce qui fait paraître le moteur plus puissant.
De même, une seule transmission accompagne la voiture, soit une automatique à six rapports. Le mode manuel de celle-ci fait plaisir, mais pas autant que l’électronique révisée qui permet, par exemple, de rétrograder directement de la sixième à la quatrième vitesse (au lieu de respecter la séquence 6-5-4), ce qui raccourcit les passages et favorise un rapport optimal en tout temps.
La Toyota Avalon 2011 s’adresse à une clientèle âgée de 35 à 55 ans. Avec cette voiture, la compagnie ne rate pas la cible, mais on sent qu’elle n’a pas visé tout à fait dans le mille non plus.
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