Groupe motopropulseur
Contrairement à l'ensemble des concurrents domestiques, le Sequoia utilise un moteur à double arbre à cames en tête, pour se mouvoir. Du même V8 de 4,7 litres, il fait ressortir cette année 282 chevaux de puissance, et un couple de 325 lb/pi à 3400 tr/min, grâce au fameux système VVT-i. Il se classe donc cette année comme le V.U.S. grand format offrant la meilleure puissance par rapport à la cylindrée, avec un ratio de 60 chevaux au litre. Très intéressants sur papier, ces chiffres se font également voir sur la route, puisque le Sequoia n'a désormais rien à envier de la concurrence, en matière de performance. Franchement impressionnant, le moteur d'une belle sonorité permet des accélérations très vivantes, qui se rapprochent de près de celles du puissant Nissan Armada.
Il faut dire que ce beau petit V8 est désormais accompagné d'une nouvelle boîte automatique à 5 rapports, dont le rendement impressionne à tous les niveaux. Elle s'adapte à votre type de conduite et offre des changements de rapports à peine perceptibles, mais très rapides, afin d'optimiser les performances et de diminuer, dit-on, la consommation d'essence. Les adeptes de conduite hors route bénéficient d'un système à quatre roues motrices à prise temporaire, qui s'active au simple toucher d'un bouton. Le véhicule est équipé d'un boîtier de transfert à deux rapports et d'un différentiel à désaccouplement automatique, qui n'est malheureusement pas verrouillable.
Tout aussi antiécologique que ses camarades, le Sequoia est un véritable goinfre qui n'offre jamais de répit au portefeuille de celui qui doit assumer la facture de carburant. Après avoir effectué un parcours sur autoroute d'environ 1300 kilomètres, je n'ai pu faire mieux que 17,8 litres au 100 kilomètres.
Comportement routier et éléments mécaniques
Malgré un essieu rigide arrière qui rend le Sequoia légèrement sautillant sur chaussée dégradée, le véhicule apporte un confort de premier rang à la majorité des occupants. En fait, je dis la majorité puisque ceux qui prendront place sur la banquette arrière devront, en plus de vivre avec l'inconfort du siège, accepter de subir les secousses causées par les nids de poules et autres inégalités de la route. Autrement dit, ils auront l'impression de se retrouver sur la dernière banquette d'un autobus scolaire. Mais comme la vie est bien faite, ce sont sans doute les enfants, qui s'arrachent généralement cette même banquette à bord de l'immense véhicule jaune, qui prendront place sur celle de votre Sequoia.
Sur la route, le Sequoia possède de nombreux avantages face à la concurrence. En plus d'être pourvu d'un châssis très rigide, sa suspension bien calibrée absorbe bien les chocs. Elle peut aussi être ajustée au besoin par le conducteur, pour contrebalancer le poids supérieur d'une remorque ou simplement d'un chargement considérable. Équipé de l'ensemble des systèmes d'assistance à la conduite que sont l'antipatinage, le contrôle de stabilité électronique et la répartition électronique de force de freinage, le Sequoia est pratiquement le seul V.U.S. de ce format qui pardonne les erreurs de son conducteur. Bien sûr, ces dispositifs ne sont pas infaillibles, mais il faudrait vraiment faire exprès pour faire décrocher le véhicule de sa trajectoire, d'autant plus que le contrôle de stabilité ne peut être désactivé.
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| Photo - Antoine Joubert - Auto123.com |
Il faut dire que ce beau petit V8 est désormais accompagné d'une nouvelle boîte automatique à 5 rapports, dont le rendement impressionne à tous les niveaux. Elle s'adapte à votre type de conduite et offre des changements de rapports à peine perceptibles, mais très rapides, afin d'optimiser les performances et de diminuer, dit-on, la consommation d'essence. Les adeptes de conduite hors route bénéficient d'un système à quatre roues motrices à prise temporaire, qui s'active au simple toucher d'un bouton. Le véhicule est équipé d'un boîtier de transfert à deux rapports et d'un différentiel à désaccouplement automatique, qui n'est malheureusement pas verrouillable.
Tout aussi antiécologique que ses camarades, le Sequoia est un véritable goinfre qui n'offre jamais de répit au portefeuille de celui qui doit assumer la facture de carburant. Après avoir effectué un parcours sur autoroute d'environ 1300 kilomètres, je n'ai pu faire mieux que 17,8 litres au 100 kilomètres.
Comportement routier et éléments mécaniques
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| Photo - Antoine Joubert - Auto123.com |
Sur la route, le Sequoia possède de nombreux avantages face à la concurrence. En plus d'être pourvu d'un châssis très rigide, sa suspension bien calibrée absorbe bien les chocs. Elle peut aussi être ajustée au besoin par le conducteur, pour contrebalancer le poids supérieur d'une remorque ou simplement d'un chargement considérable. Équipé de l'ensemble des systèmes d'assistance à la conduite que sont l'antipatinage, le contrôle de stabilité électronique et la répartition électronique de force de freinage, le Sequoia est pratiquement le seul V.U.S. de ce format qui pardonne les erreurs de son conducteur. Bien sûr, ces dispositifs ne sont pas infaillibles, mais il faudrait vraiment faire exprès pour faire décrocher le véhicule de sa trajectoire, d'autant plus que le contrôle de stabilité ne peut être désactivé.