Caisse courte
La Double Cab est offerte avec une caisse de 6,5 ou 8,1 pieds. Pour nos besoins, la caisse courte était amplement suffisant. Notre camionnette était équipée d'une doublure de caisse et de rails d'arrimage. Comme le démontrent les photos, il m'a fallu arrimer mes coffres pour éviter qu'ils ne se déplacent. Les crochets de série se trouvent au bas et aux quatre coins de la caisse. Il se révèle difficile de les atteindre quand on charge des boîtes. Comme il a plu pendant les quatre jours, j'ai noté que l'eau s'accumulait dans le fond de la caisse. Il fallait donc s'assurer de rouler avec le camion avant de le charger : il serait souhaitable qu'on trouve un moyen d'évacuer l'eau sans devoir déplacer le véhicule. Un bon mot encore une fois pour ce battant retenu par des amortisseurs qui permet d'éviter des blessures.
Arrimage
Accoupler la remorque à la camionnette est chose aisée si l'on a quelqu'un pour guider. La visibilité arrière limitée demande qu'on s'y reprenne à plusieurs reprises si l'on est seul. Je ne connais aucune camionnette qui comporte un point de repère central sur le hayon permettant de s'aligner plus facilement quand on est seul. Les crochets et le faisceau de câbles électriques s'arriment aisément.
Sur la route
À vide, l'essieu arrière sautille légèrement. À ce chapitre, Ford et GM maîtrisent mieux cet effet parfois agaçant. Une fois chargée et arrimée à la remorque, la Tundra s'amuse. Le mode remorquage permet des départs en souplesse. Dans les montagnes, j'ai particulièrement aimé le fonctionnement du mode remorquage qui évite au groupe motopropulseur des rétrogradations inutiles. La puissance du 5,7-litres suffit à la tâche. Il n'a jamais montré un signe d'essoufflement. Les accélérations sont puissantes. Les manoeuvres de changement de direction et les virages s'effectuent sans encombre. Le freinage est à la hauteur des besoins. Ma vitesse de croisière a varié parce que je suivais le motorisé de mon collègue qui, lui, avec cette masse énorme, était affecté par les vents assez violents sur les routes montagneuses. Au retour, j'ai pu maintenir une vitesse plus élevée (110 km/h) en toute stabilité. La consommation de ma Tundra s'est chiffrée à 18,94 litres aux 100 kilomètres, ce qui me semble très raisonnable dans les circonstances.
Satisfaction
Les conditions d'essai m'ont permis d'apprécier les qualités mécaniques de cette nouvelle Tundra. J'ai particulièrement apprécié son confort de roulement à pleine charge et sa capacité de charge et de rangement. Facile à manoeuvrer, elle mérite à juste titre de compter parmi les camionnettes pleine grandeur d'un quart de tonne.
Puissance
Mode remorquage efficace
Rangement
Confort
Consommation
Qualité des matériaux
Lunette
Prix un peu élevé par comparaison avec la concurrence
Aucun
photo:Amyot Bachand
La Double Cab est offerte avec une caisse de 6,5 ou 8,1 pieds. Pour nos besoins, la caisse courte était amplement suffisant. Notre camionnette était équipée d'une doublure de caisse et de rails d'arrimage. Comme le démontrent les photos, il m'a fallu arrimer mes coffres pour éviter qu'ils ne se déplacent. Les crochets de série se trouvent au bas et aux quatre coins de la caisse. Il se révèle difficile de les atteindre quand on charge des boîtes. Comme il a plu pendant les quatre jours, j'ai noté que l'eau s'accumulait dans le fond de la caisse. Il fallait donc s'assurer de rouler avec le camion avant de le charger : il serait souhaitable qu'on trouve un moyen d'évacuer l'eau sans devoir déplacer le véhicule. Un bon mot encore une fois pour ce battant retenu par des amortisseurs qui permet d'éviter des blessures.
Notre modèle d'essai était muni de la caisse de 6,5 pieds. |
Arrimage
Accoupler la remorque à la camionnette est chose aisée si l'on a quelqu'un pour guider. La visibilité arrière limitée demande qu'on s'y reprenne à plusieurs reprises si l'on est seul. Je ne connais aucune camionnette qui comporte un point de repère central sur le hayon permettant de s'aligner plus facilement quand on est seul. Les crochets et le faisceau de câbles électriques s'arriment aisément.
Sur la route
À vide, l'essieu arrière sautille légèrement. À ce chapitre, Ford et GM maîtrisent mieux cet effet parfois agaçant. Une fois chargée et arrimée à la remorque, la Tundra s'amuse. Le mode remorquage permet des départs en souplesse. Dans les montagnes, j'ai particulièrement aimé le fonctionnement du mode remorquage qui évite au groupe motopropulseur des rétrogradations inutiles. La puissance du 5,7-litres suffit à la tâche. Il n'a jamais montré un signe d'essoufflement. Les accélérations sont puissantes. Les manoeuvres de changement de direction et les virages s'effectuent sans encombre. Le freinage est à la hauteur des besoins. Ma vitesse de croisière a varié parce que je suivais le motorisé de mon collègue qui, lui, avec cette masse énorme, était affecté par les vents assez violents sur les routes montagneuses. Au retour, j'ai pu maintenir une vitesse plus élevée (110 km/h) en toute stabilité. La consommation de ma Tundra s'est chiffrée à 18,94 litres aux 100 kilomètres, ce qui me semble très raisonnable dans les circonstances.
Satisfaction
Les conditions d'essai m'ont permis d'apprécier les qualités mécaniques de cette nouvelle Tundra. J'ai particulièrement apprécié son confort de roulement à pleine charge et sa capacité de charge et de rangement. Facile à manoeuvrer, elle mérite à juste titre de compter parmi les camionnettes pleine grandeur d'un quart de tonne.
Mode remorquage efficace
Rangement
Confort
Consommation
Qualité des matériaux
Lunette
Prix un peu élevé par comparaison avec la concurrence
Aucun
photo:Amyot Bachand