Or, la Tundra ne m'a jamais parue surdimensionnée ni balourde. Certes, elle demande beaucoup d'attention quand vient le temps de se stationner, mais j'ai l'impression que les ouvriers qui tracent les lignes font exprès pour rendre les espaces de stationnement trop petits pour n'importe quelle camionnette. J'ai trouvé sa direction relativement communicative pour une telle bête (non pas vague ou artificielle), tandis que la position de conduite dominante, les grandes vitres et les miroirs latéraux généreux procurent ensemble une superbe visibilité. J'aurais pu rouler au centre-ville tous les jours et en éprouver assez de plaisir.
J'ai même été ébahie par la consommation de la Toyota Tundra. Après sept jours en ville et sur l'autoroute, pendant lesquels j'ai mis la gomme pour me délecter du son du V8, ma moyenne s'est élevée à 14,2 L/100 km. La compagnie soutient qu'il est possible de descendre à 12,2 L/100 km et mon expérience me dit qu'elle a probablement raison.
Si j'avais eu besoin de transporter autre chose qu'une poussette et une tondeuse (mes week-ends sont excitants, vous ne trouvez pas?), j'aurais pu charger jusqu'à 1885 livres dans la caisse ou tirer un maximum de 10 400 livres. Voilà des chiffres respectables pour une camionnette abordable qui cadrera dans le budget de plusieurs acheteurs.
À l'intérieur, la Tundra se révèle tout aussi charmante. Encore là, le design reflète la nature coriace et la vocation utilitaire propres aux camionnettes, le tout accompagné d'un soupçon de raffinement et de délicatesse (je sais que certains propriétaires ne m'aimeront pas en lisant ça) qu'on ne retrouve nulle part ailleurs dans la catégorie. Malgré son décor un peu plus « précieux », la cabine n'a pas peur de se salir et d'encaisser des coups. Des surfaces solides, des sièges robustes ainsi que des commandes faciles à manipuler même avec des gants permettent à la Tundra d'accomplir une foule de tâches.
Avec la cabine double, l'espace disponible aux deux rangées s'avère plus qu'adéquat. En outre, l'accès aux places arrière se voit facilité davantage par la présence de quatre grandes portières. Cette configuration réduit bien sûr la longueur de la caisse, plus précisément à 6,5 pieds. Les entrepreneurs les plus outillés et même quelques agriculteurs n'y trouveront peut-être pas leur compte. Je leur conseille d'opter pour la version SR5 5,7L à caisse longue, qui permet de charger du matériel sur une superficie de 8,1 x 4,2 pieds.
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| J'aurais pu charger jusqu'à 1885 livres dans la caisse ou tirer un maximum de 10 400 livres. (Photo: Miranda Lightsone/Auto123.com) |
J'ai même été ébahie par la consommation de la Toyota Tundra. Après sept jours en ville et sur l'autoroute, pendant lesquels j'ai mis la gomme pour me délecter du son du V8, ma moyenne s'est élevée à 14,2 L/100 km. La compagnie soutient qu'il est possible de descendre à 12,2 L/100 km et mon expérience me dit qu'elle a probablement raison.
Si j'avais eu besoin de transporter autre chose qu'une poussette et une tondeuse (mes week-ends sont excitants, vous ne trouvez pas?), j'aurais pu charger jusqu'à 1885 livres dans la caisse ou tirer un maximum de 10 400 livres. Voilà des chiffres respectables pour une camionnette abordable qui cadrera dans le budget de plusieurs acheteurs.
À l'intérieur, la Tundra se révèle tout aussi charmante. Encore là, le design reflète la nature coriace et la vocation utilitaire propres aux camionnettes, le tout accompagné d'un soupçon de raffinement et de délicatesse (je sais que certains propriétaires ne m'aimeront pas en lisant ça) qu'on ne retrouve nulle part ailleurs dans la catégorie. Malgré son décor un peu plus « précieux », la cabine n'a pas peur de se salir et d'encaisser des coups. Des surfaces solides, des sièges robustes ainsi que des commandes faciles à manipuler même avec des gants permettent à la Tundra d'accomplir une foule de tâches.
Avec la cabine double, l'espace disponible aux deux rangées s'avère plus qu'adéquat. En outre, l'accès aux places arrière se voit facilité davantage par la présence de quatre grandes portières. Cette configuration réduit bien sûr la longueur de la caisse, plus précisément à 6,5 pieds. Les entrepreneurs les plus outillés et même quelques agriculteurs n'y trouveront peut-être pas leur compte. Je leur conseille d'opter pour la version SR5 5,7L à caisse longue, qui permet de charger du matériel sur une superficie de 8,1 x 4,2 pieds.
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| Avec la cabine double, l'espace disponible aux deux rangées s'avère plus qu'adéquat. (Photo: Toyota) |