La crise de l'industrie de l'automobile en Ontario atteint son paroxysme; depuis plusieurs mois, elle est de plus en plus chancelante. Y aura-t-il une relance? Peut-être, mais elle ne viendra pas nécessairement des investisseurs traditionnels.
En effet, il y a quelque temps déjà, l'entreprise italienne Fiat a fait état de son intention de s'implanter en Amérique du Nord. Ainsi, par l'entremise de sa filiale, Alfa Romeo, Fiat compte s'installer au Mexique, aux États-Unis et au Canada. Le projet est certainement intéressant, mais les coûts de construction devront êtres réduits si l'entreprise veut vendre ses voitures à un prix raisonnable. Ne prévoyant pas s'installer avant 2009-2010, l'entreprise est en quête d'un site pour fabriquer ses voitures.
Saisissant la balle au bond, le premier ministre de l'Ontario, Dalton McGuinty, et sa ministre du Développement économique et du Commerce, Sandra Pupatello, se sont rendus à Turin, en Italie, pour parler avec les représentants de Fiat, dont le chef de la direction, Sergio Marchionne. Ce dernier, qui est d'origine canado-italienne, a grandi dans la région de Toronto.
La relance de l'industrie de l'automobile est nécessaire à l'économie ontarienne. Depuis les fermetures continues d'usine, l'Ontario se retrouve donc avec une main-d'oeuvre compétente qui pourrait devenir un atout majeur au moment où Fiat fera son choix pour la construction de son usine en Amérique du Nord.
photo:Fiat
En effet, il y a quelque temps déjà, l'entreprise italienne Fiat a fait état de son intention de s'implanter en Amérique du Nord. Ainsi, par l'entremise de sa filiale, Alfa Romeo, Fiat compte s'installer au Mexique, aux États-Unis et au Canada. Le projet est certainement intéressant, mais les coûts de construction devront êtres réduits si l'entreprise veut vendre ses voitures à un prix raisonnable. Ne prévoyant pas s'installer avant 2009-2010, l'entreprise est en quête d'un site pour fabriquer ses voitures.
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| Fiat 500 2008 |
Saisissant la balle au bond, le premier ministre de l'Ontario, Dalton McGuinty, et sa ministre du Développement économique et du Commerce, Sandra Pupatello, se sont rendus à Turin, en Italie, pour parler avec les représentants de Fiat, dont le chef de la direction, Sergio Marchionne. Ce dernier, qui est d'origine canado-italienne, a grandi dans la région de Toronto.
La relance de l'industrie de l'automobile est nécessaire à l'économie ontarienne. Depuis les fermetures continues d'usine, l'Ontario se retrouve donc avec une main-d'oeuvre compétente qui pourrait devenir un atout majeur au moment où Fiat fera son choix pour la construction de son usine en Amérique du Nord.
photo:Fiat