Le moteur V6 turbodiesel proposé pour l’utilitaire Q7 depuis 2009 a la même cylindrée, le même angle d’ouverture et la même course que son prédécesseur, qui était réservé au marché européen. Cependant, toutes ressemblances s’arrêtent là, puisque sa conception a fait l’objet d’une importante refonte.
Ce TDI de 3,0 litres qualifié de « diesel propre » est nouveau du bloc-cylindres au vilebrequin, en passant par les bielles, les pistons en aluminium et la culasse. Son design a été revu de bout en bout, si bien qu’il a été possible de réduire son poids de 12%. Ce nouveau V6, qui ne mesure que 44 centimètres de long, pèse 193 kilos, soit 25 de moins que son prédécesseur.
De nouvelles culasse en alliage ont permis à elles seules d’éliminer 3 kilos et un nouveau vilebrequin, 2 kilos. On a même réussi à gruger quelques précieux grammes en adoptant l’aluminium au lieu de l’acier pour la plupart des boulons et les conduites de refroidissement!
L’amélioration des performances de ce moteur mise également sur une réduction de la friction de ses pièces mobiles (pistons, chaîne de distribution, paliers d’arbre du compresseur volumétrique, etc.). En Europe, ce moteur dispose également d’un système « Stop-Start », qui réduit le gaspillage du carburant en coupant le moteur dès que le véhicule s’immobilise, et ce jusqu’à ce que le conducteur relâche la pédale de frein. Aussitôt, le moteur repart instantanément.
Selon le fabricant, ce V6 TDI n’émettrait pas plus d’émissions de particules polluantes qu’un moteur à essence ordinaire. Il produirait 20% moins de CO2 et sa consommation de carburant serait 30% inférieure à celle d’un V6 à essence de même cylindrée. Au Canada, le fabricant annonce une consommation moyenne de 10,8 litres aux 100 kilomètres. Des cotes qui ne l’empêche pas d’offrir des performances surprenantes. En effet, ce TDI permettrait à un Q7 d’accélérer de 0 à 100 km/h en tout juste 8,1 secondes!
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| Photo: Audi |
Ce TDI de 3,0 litres qualifié de « diesel propre » est nouveau du bloc-cylindres au vilebrequin, en passant par les bielles, les pistons en aluminium et la culasse. Son design a été revu de bout en bout, si bien qu’il a été possible de réduire son poids de 12%. Ce nouveau V6, qui ne mesure que 44 centimètres de long, pèse 193 kilos, soit 25 de moins que son prédécesseur.
De nouvelles culasse en alliage ont permis à elles seules d’éliminer 3 kilos et un nouveau vilebrequin, 2 kilos. On a même réussi à gruger quelques précieux grammes en adoptant l’aluminium au lieu de l’acier pour la plupart des boulons et les conduites de refroidissement!
L’amélioration des performances de ce moteur mise également sur une réduction de la friction de ses pièces mobiles (pistons, chaîne de distribution, paliers d’arbre du compresseur volumétrique, etc.). En Europe, ce moteur dispose également d’un système « Stop-Start », qui réduit le gaspillage du carburant en coupant le moteur dès que le véhicule s’immobilise, et ce jusqu’à ce que le conducteur relâche la pédale de frein. Aussitôt, le moteur repart instantanément.
Selon le fabricant, ce V6 TDI n’émettrait pas plus d’émissions de particules polluantes qu’un moteur à essence ordinaire. Il produirait 20% moins de CO2 et sa consommation de carburant serait 30% inférieure à celle d’un V6 à essence de même cylindrée. Au Canada, le fabricant annonce une consommation moyenne de 10,8 litres aux 100 kilomètres. Des cotes qui ne l’empêche pas d’offrir des performances surprenantes. En effet, ce TDI permettrait à un Q7 d’accélérer de 0 à 100 km/h en tout juste 8,1 secondes!
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| Photo: Audi |