Une récente expérience m'a rappelé à quel point les voitures dites « économiques » se sont améliorées au cours des dernières années. Lorsque j'ai apporté mon véhicule au garage pour une réparation, on m'a prêté une Ford Focus 2009 des plus rudimentaires. En fait, un représentant est venu me la livrer directement à mon bureau.
Au moment de baisser la vitre pour passer ma carte magnétisée et sortir du stationnement, j'ai commis ma première erreur : j'ai tenté de trouver le bouton de commande électrique sur la portière alors qu'il s'agissait de vitres à manivelle. J'ai donc fait travailler mon bras gauche afin de pouvoir quitter le stationnement.
Puis, j'ai réalisé que le miroir de droite se trouvait mal ajusté (à force d'essayer des véhicules de presse conduits par différents journalistes, j'en ai développé une habitude). Deuxième erreur : j'ai cherché un bouton qui n'existait pas. En effet, j'avais affaire à des miroirs manuels. J'ai dû m'étirer de tout mon long pour atteindre le petit levier et ajuster le miroir.
Conduire cette Focus s'est vite transformé en exercice physique, mais je me suis quand même amusé à revivre les « joies » de l'automobile d'il y a quelques années... du moins, jusqu'à ce que vienne le temps d'immobiliser la voiture sur une chaussée glissante.
Voyant l'absence de plusieurs commodités que nous prenons pour acquises de nos jours, je me suis demandé si ma Focus était équipée de freins antiblocage. J'ai profité d'un moment où j'étais seul dans une côte détrempée pour appuyer à fond sur la pédale. Non, pas d'antiblocage! Les roues avant ont tout de suite bloqué et la direction ne voulait plus rien savoir.
Cette péripétie m'a franchement ouvert les yeux et rappelé toute l'importance des systèmes de sécurité modernes, tels que les freins ABS, l'antipatinage et l'antidérapage. Fort heureusement, la nouvelle génération de la Ford Focus présente un éventail de commodités et de dispositifs de sécurité nettement plus complet, pour ne pas dire exceptionnel.
À mon avis, le bon vieux temps des vitres à manivelle et des pneus qui dérapent ne devrait rester qu'un souvenir...
Au moment de baisser la vitre pour passer ma carte magnétisée et sortir du stationnement, j'ai commis ma première erreur : j'ai tenté de trouver le bouton de commande électrique sur la portière alors qu'il s'agissait de vitres à manivelle. J'ai donc fait travailler mon bras gauche afin de pouvoir quitter le stationnement.
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Puis, j'ai réalisé que le miroir de droite se trouvait mal ajusté (à force d'essayer des véhicules de presse conduits par différents journalistes, j'en ai développé une habitude). Deuxième erreur : j'ai cherché un bouton qui n'existait pas. En effet, j'avais affaire à des miroirs manuels. J'ai dû m'étirer de tout mon long pour atteindre le petit levier et ajuster le miroir.
Conduire cette Focus s'est vite transformé en exercice physique, mais je me suis quand même amusé à revivre les « joies » de l'automobile d'il y a quelques années... du moins, jusqu'à ce que vienne le temps d'immobiliser la voiture sur une chaussée glissante.
Voyant l'absence de plusieurs commodités que nous prenons pour acquises de nos jours, je me suis demandé si ma Focus était équipée de freins antiblocage. J'ai profité d'un moment où j'étais seul dans une côte détrempée pour appuyer à fond sur la pédale. Non, pas d'antiblocage! Les roues avant ont tout de suite bloqué et la direction ne voulait plus rien savoir.
Cette péripétie m'a franchement ouvert les yeux et rappelé toute l'importance des systèmes de sécurité modernes, tels que les freins ABS, l'antipatinage et l'antidérapage. Fort heureusement, la nouvelle génération de la Ford Focus présente un éventail de commodités et de dispositifs de sécurité nettement plus complet, pour ne pas dire exceptionnel.
À mon avis, le bon vieux temps des vitres à manivelle et des pneus qui dérapent ne devrait rester qu'un souvenir...