Et lorsque jumelé à la boîte automatique (une manuelle à 5 rapports est de série), attendez-vous à des changements de rapports fréquents : la boîte à 6 rapports rétrograde avec le moindre flirt de l’accélérateur afin de procurer le maximum de puissance disponible, même sur l’autoroute. À 100 km/h, cependant, le moteur vire à 2 000 tr/min, alors la conduite devient silencieuse.
Quant au moteur TDI, il reste inchangé, il offre toujours 140 chevaux et un couple de 236 livres-pied. Côté performances, il se rapproche plus du 5-cylindres de 2,5 litres que du 2,0-litres à essence, et assure une consommation d’environ 5,0 L/100 km sur la grande route.
Et malgré s’être fait américanisée quelque peu, les habiletés dynamiques de la voiture ont été diluées légèrement, mais pas gâchées, donc c’est une bonne nouvelle.
Mécaniquement, des freins à tambour équipent toutes les versions de base au lieu de disques arrière; les TDI Comfortline ainsi que les versions Sportline et Highline conservent les disques aux quatre roues. La suspension arrière consiste en une barre de torsion semi-indépendante, ce dont la Jetta disposait avant le tournant du siècle. Dans ces deux cas, on rétrograde la Jetta à un niveau similaire à la concurrence, sans toutefois la rendre inférieure.
Parmi les autres mesures prises pour sauver des sous, on note une finition du coffre beaucoup plus simpliste, alors finis les amortisseurs. Même chose sous le capot, où une baguette de soutien réside désormais. Pas trop grave.
À l’intérieur de la Jetta, les plastiques moelleux du tableau de bord sont remplacés par du plastique rigide, bien qu’avec la même texture. Visuellement, pas de différence, toutefois au toucher, c’est évidemment moins luxueux. Les modèles Trendline et Trendline+ n’ont pas d’accoudoirs centraux avant et arrière, ce qui est dommage.
La Jetta offre, selon VW, le plus grand espace aux places arrière, et en fait, ils ont plus ou moins raison : le dégagement pour les pieds s’avère plus généreux ici que dans toutes ses rivales. Le coffre de la Jetta figure également parmi les plus volumineux. Finalement, la voiture donne l’impression d’être plus grosse qu’une compacte.
Quant au moteur TDI, il reste inchangé, il offre toujours 140 chevaux et un couple de 236 livres-pied. Côté performances, il se rapproche plus du 5-cylindres de 2,5 litres que du 2,0-litres à essence, et assure une consommation d’environ 5,0 L/100 km sur la grande route.
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| Quant au moteur TDI, il reste inchangé, il offre toujours 140 chevaux et un couple de 236 livres-pied. (Photo: Michel Deslauriers/Auto123.com) |
Et malgré s’être fait américanisée quelque peu, les habiletés dynamiques de la voiture ont été diluées légèrement, mais pas gâchées, donc c’est une bonne nouvelle.
Mécaniquement, des freins à tambour équipent toutes les versions de base au lieu de disques arrière; les TDI Comfortline ainsi que les versions Sportline et Highline conservent les disques aux quatre roues. La suspension arrière consiste en une barre de torsion semi-indépendante, ce dont la Jetta disposait avant le tournant du siècle. Dans ces deux cas, on rétrograde la Jetta à un niveau similaire à la concurrence, sans toutefois la rendre inférieure.
Parmi les autres mesures prises pour sauver des sous, on note une finition du coffre beaucoup plus simpliste, alors finis les amortisseurs. Même chose sous le capot, où une baguette de soutien réside désormais. Pas trop grave.
À l’intérieur de la Jetta, les plastiques moelleux du tableau de bord sont remplacés par du plastique rigide, bien qu’avec la même texture. Visuellement, pas de différence, toutefois au toucher, c’est évidemment moins luxueux. Les modèles Trendline et Trendline+ n’ont pas d’accoudoirs centraux avant et arrière, ce qui est dommage.
La Jetta offre, selon VW, le plus grand espace aux places arrière, et en fait, ils ont plus ou moins raison : le dégagement pour les pieds s’avère plus généreux ici que dans toutes ses rivales. Le coffre de la Jetta figure également parmi les plus volumineux. Finalement, la voiture donne l’impression d’être plus grosse qu’une compacte.
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| À l’intérieur de la Jetta, les plastiques moelleux du tableau de bord sont remplacés par du plastique rigide, bien qu’avec la même texture. (Photo: Michel Deslauriers/Auto123.com) |